
Selon un rapport parlementaire sur l’avenir audiovisuel public, il est recommandé de supprimer la publicité à certaines heures, notamment après 20 heures. Les chaînes du groupe France Télévisions sont les...
Un recul de deux ans qui pourrait bien coûter cher à certains. Alors que la première journée de grève du 19 janvier 2023 s’est avérée être un succès pour les syndicats, Emmanuel Macron semble toujours déterminé à mener sa réforme des retraites jusqu’à son terme.
Parmi tous les changements, un point fait particulièrement débat : le recul de l’âge de départ à la retraite à 64 ans. Une large partie de la population Française y est opposée, mais pour certains seniors, "c’est la double, voire la triple peine", comme l’a déclaré une femme présente lors des manifestations à nos confrères de BFMTV.
L’inquiétude est forte pour les seniors au chômage, particulièrement nombreux par rapport aux autres catégories d’âge. En 2021, le taux d’emploi des 55-64 ans ne s’élevait en effet qu’à 56%. Pour toutes ces personnes le quotidien n’est pas des plus simples.
"Ma situation n'est pas stable, mais on prend ce qu'on trouve, on n'a pas le choix parce qu'on essaie de garder ses droits (au chômage). On essaie de toujours repousser les échéances pour essayer d'aller au bout, d'atteindre la retraite en mettant tout bout à bout", explique Jérôme Ferrand, un homme de 57 ans qui "jongle entre les petits emplois" et le chômage, auprès de nos confrères.
Mais lorsqu’il recherche du travail, l’âgisme des recruteurs se dresse face à lui tel un mur infranchissable. "Quand vous envoyez des centaines de CV et que vous n'avez pas de réponse... et que les choses se débloquent à partir du moment où vous retirez votre date de naissance, c'est qu'il y a un problème", regrette-t-il.
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