Miss France 2026 : une vidéo choc secoue le concours, deux candidates dérapent en coulisses
Le sacre de la Tahitienne Hinaupoko Devèze aurait dû être le seul temps fort de la soirée Miss France 2026. Pourtant, quelques heures à peine après la cérémonie, une autre histoire, bien moins glamour, a enflammé les réseaux sociaux. Une séquence capturée en coulisses, juste après l’annonce des douze finalistes, a fait l'effet d'une bombe.
On y voit deux miss régionales laisser éclater leur déception en coulisses. Ce qui aurait pu rester un moment de relâchement privé (visiblement envoyé dans un cercle proche sur le réseau social Snapchat) s'est transformé en un dérapage public qui met à mal l'image d'une promotion unie et solidaire. Que s'est-il passé dans la soirée de samedi à dimanche ? On fait le point sur le scandale.
Les propos de Miss Aquitaine et de Miss Provence ont mis le feu aux poudres
La scène, filmée en mode selfie par Aïnhoa Lahitete (Miss Aquitaine 2025), donne le ton de l'amertume. "Désolé mais c'est quoi ce Top 12 ? Je ne veux pas faire ma rageuse, hein. Allô la Terre", lance-t-elle, déçue. Mais c'est la phrase lâchée par sa voisine, Miss Provence, Julie Zitouni, qui va déclencher la polémique. Elle lâche : "Y'a que des grosses p***** !"
Cette vidéo choc de Miss Provence et Miss Aquitaine tenant des propos injurieux a rapidement fait le tour du web, provoquant un véritable tollé. Face à la vague d'indignation, Julie Zitouni a tenté de s'expliquer. "J'ai utilisé le mot p*te dans un sens familier qui, dans ma manière de parler, signifiait simplement 'les veinardes', 'les chanceuses'", a-t-elle confié maladroitement dans une story postée sur Instagram. Malgré cette justification sur la signification familière de ses propos injurieux, Miss Provence a reconnu son erreur. Elle a admis que "ce n'est pas un vocabulaire qui a sa place dans Miss France", avant de présenter des excuses sincères pour ses paroles déplacées.
Pour sa part, Aïnhoa Lahitete a également fait son mea-culpa. "Je tiens à dire clairement que je regrette profondément mon attitude", a-t-elle réagi dans une publication postée sur sa page publique. "Je présente mes excuses les plus sincères à toutes les candidates de la promotion Miss France 2026, aux comités départementaux et régionaux de la société Miss France, aux familles des Miss régionales, aux spectateurs, ainsi qu'à la société Miss France."
La sororité, un mythe brisé par la compétition
Cette affaire a jeté une ombre sur les valeurs prônées par l'organisation. La polémique sur la sororité des candidates de Miss France 2026 dans les coulisses a contraint les comités régionaux à réagir. Le comité Miss Provence Côte d'Azur s'est immédiatement désolidarisé, rappelant dans un communiqué que de tels propos "ne reflètent en aucun cas les valeurs" de l'organisation.
Le comité Aquitaine a également dû briser le silence, l'attitude hilare de sa représentante ayant été pointée du doigt par de nombreux internautes. Cet incident révèle la face cachée de la compétition Miss France, où les rivalités et la pression sont immenses. L'annonce du Top 12 est un moment de tension extrême où les rêves de gloire s'effondrent pour plus de la moitié des jeunes femmes, laissant parfois place à une amertume difficile à contenir.
Quelles sanctions pour les deux candidates ?
Au-delà du dérapage verbal, des rumeurs persistantes viennent assombrir le tableau. Selon le blogueur Aqababe, qui a révélé la vidéo choc sur X, l'éviction de Miss Provence ne serait pas une surprise. Il évoque une possible sanction pour "un comportement inapproprié, après avoir été surprise en train de fumer du cannabis dans sa chambre". Une information qui n'a pas été confirmée pour le moment.
Une question est désormais sur toutes les lèvres : la Société Miss France prendra-t-elle des sanctions disciplinaires contre Miss Provence et Miss Aquitaine ? L'hypothèse d'une destitution de leurs titres régionaux n'est pas à écarter. Par le passé, l'organisation a déjà prouvé sa fermeté en retirant des écharpes pour des photos ou des propos jugés contraires à son règlement. Cette affaire rappelle cruellement à quel point l'image des ambassadrices de beauté est scrutée, bien au-delà de la scène télévisée.