Frédéric François hospitalisé récemment : ses confidences sur son état de santé
L'annonce, le mois dernier, de son hospitalisation par la presse belge a semé l'émoi chez ses fidèles. La question de la vérité sur l'hospitalisation de Frédéric François juste avant sa tournée était sur toutes les lèvres, alimentant les spéculations les plus alarmistes.
Invité sur le plateau de Buzz TV, l'interprète de Je t'aime à l'italienne a tenu à rassurer son public et à mettre les points sur les "i". Avec l'énergie qui le caractérise, il a balayé les craintes d'un revers de la main, non sans faire quelques confidences inattendues sur sa personnalité.
Frédéric François : quelle est la vérité sur son hospitalisation ?
Face aux rumeurs qui prenaient de l'ampleur, le chanteur a livré sa version des faits. Alors que certains médias évoquaient une possible "opération intestinale", son entourage avait rapidement communiqué, expliquant qu'il s'agissait d'un simple examen de routine. La rumeur d'une opération intestinale a vite été démentie, mais le doute persistait.
Pour Frédéric François, la meilleure preuve de sa bonne forme reste sa présence sur scène et sur les plateaux. "Si j'avais été opéré de l'intestin, je ne serais pas ici en face de vous", a-t-il lancé avec un sourire sur le plateau du Figaro. Il s'agissait en réalité d'un simple check-up, car à 75 ans, Frédéric François ne laisse rien au hasard avant de se lancer dans le marathon d'une nouvelle série de concerts.
Pourquoi se compare-t-il à Michel Drucker ?
Derrière cette mise au point se cache une révélation bien plus personnelle. Au fil de ses confidences sur sa santé, le chanteur a avoué être un "petit hypocondriaque". Une anxiété qu'il tourne en dérision en se comparant à une autre figure emblématique du paysage audiovisuel français, connue pour sa vigilance médicale.
"Je suis un peu comme mon ami Michel Drucker. Je devrais avoir un hôpital là, au fond du jardin", a-t-il plaisanté, citant l'animateur qui a lui-même traversé de lourdes épreuves de santé. Le chanteur s’amuse de cette hypocondrie qui le rapproche de Michel Drucker mais qui cache surtout une discipline de fer. "Le moindre petit bobo, je vais chez mon médecin. Si je dois passer une radio, je passe une radio pour être sûr que ça ne va pas s'amplifier et que ça va se guérir directement, tout simplement", a-t-il détaillé pour Buzz TV.
La santé, une obsession née de ses angoisses passées ?
Cette extrême précaution n'est pas un caprice, mais une nécessité pour un artiste qui, à 75 ans et après 56 ans de carrière, s'apprête à retrouver son public. Son état de santé doit être irréprochable pour son 19e Olympia, prévu en 2025, et pour l'ensemble de sa tournée. L'enjeu est de ne jamais décevoir ceux qui le suivent depuis des décennies.
Cette angoisse n'est pas nouvelle. On se souvient qu'au début des années 80, le chanteur avait souffert de crises de spasmophilie et d'attaques de panique liées à la pression du métier. Aujourd'hui, il a appris à canaliser cette anxiété grâce à un entourage solide, notamment son épouse Monique. Cette prévention quasi obsessionnelle est sa manière de conjurer le sort et de s'assurer qu'il pourra, encore longtemps, honorer ses engagements professionnels avec la passion qui l'anime depuis ses débuts.
