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Les enquêteurs travaillent d'arrache-pied.
Depuis la disparition de Victorine Dartois, deux jours avant qu'elle ne soit retrouvée morte le 28 septembre 2020, les forces de l'ordre cherchent à élucider tous les mystères qui obscurcissent encore cette sordide affaire. Dans l'immédiat, elles ont pu conclure à plusieurs éléments importants : le décès de la jeune femme de 18 ans n'avait rien d'accidentel, puisqu'elle a été noyée… par un tiers.
La piste criminelle est donc celle retenue par les chercheurs, qui n'ont pas su confirmer - ou infirmer - la possibilité d'une agression sexuelle, même après l'autopsie.
Leur travail, néanmoins, est salué par Maître Kelly Monteiro, l'avocate de la famille Dartois. Elle estime en effet que les policiers et les gendarmes engagés dans l'affaire "se donnent les moyens de pouvoir faire tous les actes d'enquête nécessaires", indique France Bleu.
Certes, dans l'immédiat, beaucoup d'éléments restent sans réponse. "Pour l'heure, il n'y a aucune piste sérieuse", reconnaît le conseil de la famille de la victime, dont les propos sont repris par BFMTV. Mais l'enquête avance. "Rien n'est laissé au hasard, tout est exploité", poursuit-elle ensuite.
Les enquêteurs avancent
Force est de constater que la Section de recherches de la gendarmerie de Grenoble avance. Ce jeudi 1er octobre 2020, elle a envoyé en urgence de nouveaux scellés à l'IRCGN, l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, installé à Pontoise, indique le quotidien régional Le Dauphiné Libéré. La nature même des pièces demeure cependant inconnue, précise le titre de presse.
Les deux nouvelles pistes des enquêteurs
Maître Kelly Monteiro a aussi évoqué l'ouverture prochaine d'une nouvelle information judiciaire. Selon elle cette dernière aurait pu débuter dès le jeudi 1er octobre mais le parquet de Grenoble a affirmé n'avoir rien décidé dans l'immédiat au Daupiné Libéré, ce vendredi 2 octobre 2020.
Pour l'heure les enquêteurs suivent plusieurs pistes : l'un de leurs chiens a marqué devant l'un des trois conteneurs à poubelles de Saint-Bonnet à Roche. Dans les colonnes du titre de presse, un voisin qui a assisté à la scène témoigne. Il explique l'animal s'est arrêté "devant le conteneur jaune" avant de se rouler par terrer, "les quatre pattes en l'air". Le conteneur a été embarqué par les forces de l'ordre.
"Ce qu'on on attend et ce dont on sait au niveau des actes d'enquêtes, c'est tout ce qui concerne la téléphonie, les bornages qui ne vont pas être faciles à établir compte tenu du fait qu'il y avait un match à 19 heures aux alentours", souligne également l'avocate des Dartois.
Qui a tué Victorine Dartois ?
Dans l'immédiat, il semble très complexe d'identifier le ou la tiers qui aurait pu noyer Victorine Dartois. Toutefois les enquêteurs travaillent sur plusieurs scénarios possibles. D'après Le Dauphiné Libéré, elle aurait pu être tuée en raison d'une "pression sur les épaules".
Certes, mais par qui ? Là aussi, les gendarmes réfléchissent à plusieurs profils possibles. Ils se penchent notamment sur la piste du "rôdeur" ou du "crime crapuleux", explique BFMTV, qui évoque par exemple un vol de portable ayant dégénéré. Sans oublier, bien sûr, la possible agression sexuelle de la victime.