Bernadette Chirac : où vit-elle depuis la mort de son mari ?AFP
Le 26 septembre dernier, Jacques Chirac s'éteignait, entouré de ses proches. Il a laissé derrière lui sa femme, Bernadette, très affaiblie après son décès. La veuve s'accroche d'ailleurs à certains souvenirs, comme leur ancien (et luxueux) logement.

Cela fait bientôt 5 ans que le clan Chirac, dont le patriarche s’en est allé le 26 septembre 2019, s’est installé dans cet hôtel particulier de la rue Tournon. Propriété de François Pinault, grand industriel Français, 6ème fortune du pays d’après Challenges et ami de la famille, ce pied à terre est situé dans le VIè arrondissement de la capitale. C’est là qu’est mort l’ancien président de la République et, même après les obsèques, l’ex-Première dame continue de vivre en son sein, rapporte Gala.

Jacques et Bernadette Chirac commencent à y habiter en 2015, après que l’ex-chef d’Etat ait été opéré du rein à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière. A l’époque, l’homme politique n’était pas à même de retourner dans le précédent appartement du couple, qu’il occupait pourtant depuis 2007. Ce pied à terre parisien, localisé quai Voltaire, avait acheté par Rafic Hariri, un ancien Premier ministre libanais proche des Chirac. 

A quoi ressemble l’hôtel particulier de Bernadette Chirac ?

Si Bernadette Chirac a décidé de rester dans le luxueux logis prêté par la famille Pinault, c’est aussi parce qu’il s’agit d’un endroit chargé en mémoires et autres souvenirs, note le magazine spécialisé en presse people. C’est entre ses murs qu’elle fêtait l’élection de son époux aux plus hautes fonctions de l’Etat, en 1995. Il était encore habité par François Pinault et son épouse Maryvonne.

L'appartement est grand : suffisamment pour loger la "seconde famille" de l’ancienne Première dame, composée de son personnel de maison. Aujourd’hui en fauteuil roulant, souligne Le Monde, elle occupe essentiellement le rez-de-chaussée, en dépit de l’ascenseur interne qui relie les autres étages.

Les visites, cependant, se font de plus en plus rares, à l’exception de celles de sa fille Claude, qui viendrait quasi quotidiennement.