En cas de décès, la pension de réversion peut être accordée aux proches du défunt. Qui peut en bénéficier et à quelles conditions ? On fait le point.
La cousine de François Hollande s’est récemment livrée à L’Opinion. Journaliste d’origine polonaise, Hélène Pilichowski a en effet fait quelques confidences au journal à propos du président de la République. Témoin privilégié de ses jeunes années, elle a ainsi raconté qu’ils se retrouvaient chaque été à Saint-Genix-sur-Guiers, en Savoie. "Nos grands-parents, qui étaient frère et sœur, nous emmenaient toujours en vacances ensemble", a raconté celle dont la mère, Gisèle Jacquignon, était la cousine germaine de celle du chef de François Hollande. "On l’appelait - et on l’appelle toujours – ‘le petit François’. Il était dodu, rigolo, toujours de bonne humeur, jamais un pet de travers, jouisseur, gourmand : avec lui, on ne pensait qu’à manger du chocolat en cachette ! Il aimait s’amuser faire de blagues", s’est souvenu la cousine du chef de l’Etat. Et celle-ci de souligner : "Pour lui, la vie était facile et tout le monde l’aimait".
Sa mère "était très fière de lui" mais…
A lire aussi –François Hollande : les femmes de sa vie
Autre confidence de la cousine de François Hollande : le regard que portait sa mère sur son parcours et son ascension politique. Nicole Tribert "était très fière" de son fils, "mais elle ne pensait pas qu’il aurait la stature pour être président", a assuré Hélène Pilichowski à L’Opinion. "D’ailleurs, après sa victoire, François Hollande n’avait pas convié sa famille à la cérémonie d’investiture, le 15 mai 2012. Ce qui avait beaucoup fait jaser", rappelle de son côté Closer.
En vidéo - Chez François Hollande, une Julie peut en cacher une autre