Les prénoms régionaux séduisent de plus en plus les parents, à commencer par ce prénom basque signifiant “joie”, qui est encore très rare en France.
Mercredi 7 avril, le corps d'Aurélie Vaquier a été retrouvé à son domicile de Bédarieux (Hérault), enseveli sous une dalle de béton fraîchement coulée. Samire, son compagnon, a depuis été placé en détention provisoire pour meurtre aggravé. Le suspect nie fermement les faits, affirmant qu'il était parti en vacances rejoindre ses enfants au moment de la disparition de sa compagne. À noter que le dernier signe de vie d'Aurélie Vaquier remonte au 28 janvier 2021.
D'après les informations de France Bleu, "aucun élément probant n'a été dévoilé par le parquet de Béziers à l'issue de sa garde à vue". À ce jour, aucun élément connu ne permettrait donc d'affirmer ou d'infirmer que Samire est l'auteur du crime. De nombreux éléments, encore en suspens, restent un mystère pour les enquêteurs. Selon le média, les causes et la date de la mort sont encore inconnues. De nombreux éléments, comme ceux-là, demeurent sans réponse.
De nombreux éléments demeurent sans réponse
Le média souligne une dissonance dans cette affaire. "Le compagnon d'Aurélie Vaquier, suspect numéro un dans la mort de cette jeune femme de 38 ans, avait-il intérêt à dissimuler et à enterrer le corps de sa compagne sous une dalle de béton au domicile conjugal à Bédarieux ?", interroge France Bleu. Cela fait partie des questions que se posent les enquêteurs. En outre, les proches de la victime reprochent à son partenaire son absence lors des battues organisées pour retrouver Aurélie. Le média interroge : pourquoi y aurait-il participé, s'il la pensait vivante comme il l'affirme ?
Des analyses devraient être approfondies pour enfin déterminer la cause du décès.