Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
Il est important de s’intéresser aux impôts à régler sur vos indemnités de départ. Ceux-ci peuvent être différents en fonction de votre départ à la retraite, si vous décidez de partir de manière volontaire ou bien s’il est réalisé à l’initiative de votre employeur. Découvrez à combien s’élèveront les impôts à régler sur vos indemnités de départ.
Retraite : indemnités de départ, mode d’emploi
Lorsque vous êtes placé à la retraite d’office par votre employeur, vous percevez une indemnité égale à l’indemnité de licenciement prévue. Cette indemnité est normalement exonérée d'impôt à hauteur du montant prévu par la convention collective de branche. Néanmoins, il est possible qu’un accord d’entreprise prévoit un montant supérieur et, dans ce cas, l’exonération sera limitée à la moitié de l’indemnité perçue ou au double de sa rémunération annuelle brute. Par exemple, l’exonération est restreinte à cinq fois le plafond annuel de la Sécurité sociale en vigueur à la date du versement.
Retraite : quels impôts sur vos indemnités de départ ?
Si vous partez à la retraite de votre propre gré, vous avez également le droit à une indemnité dont le taux fluctue en fonction de votre ancienneté dans l’entreprise. Cette indemnité est ici soumise à l’impôt sur le revenu. Toutefois, si votre départ à la retraite a lieu dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi, elle est exonérée d’impôt, peu importe son montant. Vous pouvez profiter du système du quotient, à votre demande, pour que la fraction imposable de l’indemnité de mise à la retraite soit appliquée. Grâce à ce système, l’impôt dû est calculé sur les revenus ordinaires, puis l’impôt dû sur les revenus ordinaires majorés du quart de l’indemnité imposable avant de multiplier par quatre le supplément d’impôt obtenu.