
Le Premier ministre, François Bayrou, s’est dit favorable à l’organisation d’un référendum sur les finances publiques. Combien coûterait un tel dispositif ? Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau,...
Malgré leur préparation et leur maîtrise du verbe, les chefs d'Etat se sont parfois illustrés par des erreurs de langage aussi amusantes qu’embarrassantes. Retour sur ces moments inattendus où le sérieux de la fonction s’efface le temps d’un mot de travers.
Ces erreurs de langage nous rappellent que, derrière la fonction présidentielle, il y a des hommes et des femmes, avec leurs faiblesses, leur fatigue et leur stress. Elles sont souvent involontaires, mais parfois révélatrices d’un état d’esprit, d’un message mal préparé… ou d’un ego un peu trop sûr de lui.
En politique, chaque mot compte. Et chaque mot mal placé peut devenir un symbole. Internet n’oublie rien, et les lapsus présidentiels font aujourd’hui partie de la mémoire collective. Ils alimentent les sketches, les parodies… et parfois, les débats.
En novembre 2017, la France sort de l'État d’urgence qui avait été décrété à la suite des attentats de Paris et de Saint-Denis.
Quelques jours plus tôt, le président de la République, Emmanuel Macron, déclare : “C’est pourquoi j’ai décidé qu’en novembre prochain, nous sortirons de l’Etat de droit… de l'État d’urgence pardonnez-moi”.
Donald Trump qui parle de l’Union soviétique au lieu de la Russie, Nicolas Sarkozy qui se dit “du côté des dictateurs”, ou plus récemment, l’ancien président américain George W. Bush qui dénonce “l’invasion brutale de l’Irak” à la place de celle de l’Ukraine… Découvrez dans ce diaporama, certains des plus célèbres lapsus présidentiels.