Sur les 51 hommes poursuivis pour viols aggravés sur Gisèle Pelicot, un quart affirment avoir eux-mêmes subi des viols dans leur enfance.
Ce lundi après-midi, l’agresseur présumé de Nathalie Kosciusko-Morizet, Vincent Debraize, devait passer devant la justice pour violences et outrage sur "une personne chargée d'une mission de service public". Son procès a finalement été renvoyé à la date du 11 juillet prochain, rapporte Le Parisien. Il a été libéré et placé sous contrôle judiciaire, avec interdiction d’entrer en contact ou d’approcher l’ancienne ministre de l’Ecologie.
A lire aussi – Nathalie Kosciusko-Morizet : son agresseur présumé nie toute violence
Une incapacité totale de travail de deux jours
Samedi, Vincent Debraize, maire de Champignollles dans l'Eure, s’est présenté auprès des services de police. Il a ensuite été placé en garde à vue avant d’être déféré dimanche soir au palais de Justice de Paris. Alors qu’il devait être jugé en comparution immédiate ce lundi après-midi, il a déposé une demande de renvoi de son procès qui lui a été accordée.
L’élu de l’Euro sera jugé pour les faits qui ont eu lieu jeudi dernier. Nathalie Kosciusko-Morizet, en campagne pour les législatives dans la 2e circonscription de Paris, avait été violemment prise à partie sur un marché du 5e arrondissement. Au cours de l’altercation avec ce dernier, la candidate LR était tombée au sol et avait perdu connaissance. Hospitalisée à la suite de cette agression, une incapacité totale de travail (ITT) de deux jours lui a été reconnue, selon Le Parisien.
En vidéo - L’avocat de NKM : son agresseur présumé "cherche de la publicité"