Au top de leur carrière, ces stars ont (vraiment) tout perdu

C’est en 2012 que le nouvel animateur de C8 a été ruiné suite à une arnaque immobilière à la Madoff. Il avait fait confiance à son notaire, sa banque et un promoteur (qu’il poursuit maintenant en justice). Disparition de la maison de famille, et de plusieurs biens, Benjamin Castaldi devait vivre avec 1 290€ chaque mois. Une situation presque dévastatrice pour lui puisque sans son travail, selon ses proches qui se sont exprimés dans la presse, il aurait pu mettre fin à ses jours. 

L’année 2010 a été particulière pour l’interprète de “Viens voir le docteur”. Sa copine l’a mise à la rue, il n’avait plus d’argent (il devait 780 000 € au Fisc). Aussi, le chanteur s’est inscrit à Pôle Emploi et a travaillé dans un commerce appartenant à ses proches. On a néanmoins pu le revoir dernièrement sur scène. Affaire à suivre !

« Je suis ruiné de chez ruiné. Tout va y passer ! » : telle fut la première déclaration  de l’homme d’affaires après que la cour d’appel de Paris l’a condamné à payer 400 millions d’euros au Crédit Lyonnais.

En 2012, l’ex héroïne du “Miel et des abeilles” avait poussé la porte du journal « Le Parisien » pour expliquer qu’elle était devenue SDF. Les mois précédant cette révélation, elle avait vécu une véritable descente aux enfers : un mari victime d’une rupture d’anévrisme, une obligation de quitter son appartement, abandon de sa famille…

La chanteuse a également eu des périodes difficiles dans les années 2000. En effet, faute de rentrée d’argent, son producteur l’a licenciée. Elle a alors porté plainte afin de récupérer des indemnités. Mais, avant que la justice lui donne raison, elle était devenue insolvable. 

Depuis qu’elle a quitté la présidence du Comité Miss France, la dame au chapeau a eu beaucoup  de mal à boucler ses fins de mois. Fini les 4 000 € par mois, elle ne touche désormais qu’un peu plus de 1 500 €, soit un peu moins de 20 000 € par an. Pour tenter de vivre confortablement, elle fait des dédicaces dans les grandes surfaces et les salons.

La reine de la nuit est heureuse, mais n’a plus d’argent. Selon elle, "être clocharde, c’est se marrer, boire des coups, ne pas avoir de soucis, ne pas payer d’impôts". La seule déception de Régine, c’est de ne pas avoir eu d’autres enfants.