Philippe Bouvard cash sur Laurent Ruquier qui "se montra fort désagréable" avec lui©Apaydin Alain/ABACAabacapress
Dans son autobiographie intitulée "Le petit monde de Don Bouvardo", le journaliste Philippe Bouvard revenait sur l'ensemble de sa carrière ainsi que sur ceux qu'il a côtoyés. L'ancienne tête d'affiche des "Grosses têtes" s'est d'ailleurs confié sans tabou sur Laurent Ruquier.

Philippe Bouvard : cette fois où Laurent Ruquier a été "désagréable" avec lui

Le 6 octobre 2022, Philippe Bouvard sortait son autobiographie Le petit monde de Don Bouvardo aux éditions L'Archipel. Un ouvrage dans lequel le journaliste de 93 ans revenait sans tabou sur l'ensemble de sa grande carrière, parfois semée d'embuches. Celui qui fut à la tête de l'émission Les Grosses Têtes sur RTL de 1977 à 2000, s'était souvenu de son éviction de la chaîne.

"Ma participation personnelle s’était déjà interrompue en l’an 2000, lorsqu’un nouveau directeur deRTL, s’avisant que je venais d’atteindre soixante-dix ans, me mit brutalement à la retraite", a-t-il expliqué dans son ouvrage. C'est une autre chaîne concurrente qui lui tendit la main, lui proposant "un cachet égal à celui de RTL". Une arrivée dans l'émission de Laurent RuquierOn va s'gêner qui n'aurait pas été des plus agréables comme il l'a révélé dans la suite de son autobiographie.

"Ce dernier, qui aurait dû m’accueillir à bras ouverts, se montra fort désagréable, allant jusqu’à ordonner aux techniciens chargés du montage de couper toutes mes interventions", a-t-il précisé.

Cette mise en garde faite à Christophe Dechavanne

A près avoir été remercié des Grosses Têtes, c'est l'animateur Christophe Dechavanne qui reprit les commandes de l'émission fétiche de Philippe Bouvard. Dans son autobiographe Le petit monde de Don Bouvardo, le journaliste s'était souvenu de cet épisode, affirmant que Christophe Dechavanne l'avait consulté avant d'accepter le poste. "Comme je l’aimais bien, je ne lui avais pas caché mon sentiment. À savoir qu’il était un excellent animateur, mais qu’il ne possédait aucun des repères culturels indispensables à la conduite d’une émission où l’on faisait assaut d’érudition".

Une mise en garde qui lui donna "pleinement raison" comme il l'a assuré puisque "Les Grosses têtes perdirent 30 % de leurs auditeurs. Rien n’y fit. Ni les efforts de Dechavanne, ni le recrutement de nouvelles vedettes, ni une grosse campagne publicitaire", a-t-il écrit.