De nombreux séniors rencontrent des difficultés avec le numérique, ce qui compromet leur accès aux démarches administratives et aux aides sociales.
Les habitants passent devant avec horreur, et la simple mention de ce qu’elles ont jadis renfermé glace le sang. Qu’est-il advenu des « maisons de l’horreur » les plus célèbres ? Fourniret, Dutroux, Daval… Dans la France entière et jusqu’en Belgique, plusieurs bâtisses rappellent encore le pire.
Ces maisons du crime ont attiré, au fil des années, de nombreux quidams, poussés par une curiosité morbide. Certains ne se contentent pas d’observer depuis le pallier les demeures : il y a ceux qui pratiquent l’exploration urbaine tout terrain et qui n’hésitent pas à pénétrer par effraction dans les bâtisses abandonnées pour se rincer l’œil de détails macabres.
Sur Youtube, de nombreux amateurs diffusent ainsi des vidéos de leurs exploits, commentaires à l’appui.
Toujours est-il qu’habiter près d’une maison au passé macabre peut rendre le quotidien difficile… Et faire baisser sérieusement le prix des biens d’un quartier.
Faits divers : ce que les agences immobilières sont tenues de dire
D’ailleurs, la plupart des propriétés dans lesquelles se sont produit des drames sont souvent vendues au rabais.
Pourtant, en France, les agents immobiliers ne sont pas tenus par la loi de dévoiler à leurs clients le passé tragique d’un bien. Parfois, cacher la vérité sur une mort violente, ou un suicide, survenu dans une propriété, est le seul moyen pour eux de se délester d’une annonce.
Mais dans certains cas, les professionnels préfèrent tout de même l’honnêteté, surtout s’il s’agit d’un faits divers qui a fait le tour de la presse. Aussi, si vous leur posez la question, ils sont tenus de vous en informer.
Dans de nombreux cas, les bâtisses au passé criminel sont revendues à des étrangers, ignorant tout de leur triste vécu.
Dans notre diaporama, découvrez ce qu’il est advenu de ces 8 maisons « célèbres » pour les crimes atroces qui s’y sont déroulés….