
Après Eric Dupond-Moretti, voici venu le tour d'Olivier Dussopt d'être jugé à partir de ce lundi. Discret et peu médiatisé, il est pourtant visé dans une instruction pour "favoritisme". Passé politique,...
Une concurrence existentielle. Dans les rayons des supermarchés, l'inflation profite aux marques de distributeurs (MDD). Face à la hausse des prix, les consommateurs arbitrent dans leurs achats et se détournent des grandes marques, préférant ces produits souvent moins chers. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Toutes les réponses à vos questions.
C'est un terme devenu de plus en plus courant à un grand nombre de consommateurs français : la "marque de distributeur" (MDD). Mais qu'entend-t-on par cette expression plus vague ? Il s'agit tout simplement d'une marque créée par un distributeur (Super U ou Auchan, par exemple) et que l'on retrouve exclusivement dans les magasins de cette même enseigne. C'est une véritable marque, déposée à l'Institut national de la propriété industrielle (Inpi) et propriété du distributeur, via sa centrale d'achat, comme l'explique justement Le Figaro. La MDD s'oppose aux marques nationales et internationales (Barilla, Fleury Michon, Nutella…), mais aussi locales, que l'on peut acheter partout, quelle que soit l'enseigne.
Ils sont nombreux : Intermarché, Aldi, E.Leclerc, Monoprix… L’ensemble de la grande distribution alimentaire propose des MDD dans ses supermarchés. Cela concerne à peu près un tiers des produits dans les rayons. Du côté des discounters comme Lidl, Netto ou Aldi, les MDD représentent environ 80% de l'offre. Les enseignes spécialisées, elles aussi, n'y échappent pas, aussi bien du côté du bio que du surgelé. Par exemple, chez Picard ou Thiriet, la quasi-totalité des produits sont proposés en MDD.
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