Variole du singe : les régions encore épargnées

Aucun décès à ce jour. Si la variole du singe touche de plus en plus de Françaises et de Français, le virus n’en demeure pas moins assez agressif pour se répandre sur tout ou partie du paysage hexagonal. L’essentiel des régions de la nation recensent au moins un cas de contamination sur leur sol. Connue depuis le début des années 1970, la pathologie est originaire d’Afrique de l’Ouest, où elle est endémique - c’est-à-dire présente en permanence -, informe Le Figaro. Généralement, les malades guérissent spontanément de l’affliction.

En tout et pour tout, poursuivent nos confrères, 1 000 cas ont été signalés à échelle mondiale, dans les pays où le virus n’est pas considéré comme endémique. Au début du mois de mai 2022, seules 200 contaminations ont été recensées. La France compte, de fait, parmi les nations touchées mais ses régions gèrent très inégalement l’afflux de contamination. Plus d’informations à ce propos dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.

Variole du singe : comment se transmet la maladie, au juste ?

Dans les faits, la variole du singe est une maladie infectieuse, causée par un virus transmis à l’humain par un animal. Le plus souvent, ce sont des rongeurs qui participent à l’expansion du virus. La période d’incubation oscille entre 5 et 21 jours.

Les malades concernés font généralement face à des symptômes comparables à ceux de la variole, lesquels comprennent donc :

• De la fièvre ;
• Des céphalées et autres maux de têtes ;
• Des douleurs musculaires ;
• Des éruptions cutanées sur le visage, les pieds ou les mains

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L’intensité des symptômes est généralement moins prégnante qu’elle ne peut l’être en cas de variole traditionnelle.