Variant Omicron : les départements où son arrivée pourrait aggraver la situation
Des symptômes plus légers mais une contagion extrêmement importante. Le variant Omicron, nouvelle souche du Covid-19, est d'ores et déjà apparu chez plusieurs de nos voisins européens. D'après les premières études, relayées par La Dépêche, il serait bien plus contagieux que le virus découvert à Wuhan en 2019, mais provoquerait simplement des symptômes moins importants que voici :
- Fatigue intense d'un à deux jours
- Muscles endoloris
- Toux
- Pas de perte de goût ni d'odorat signalée pour le moment
Dans un communiqué publié le dimanche 28 novembre, le ministère des Solidarités et de la Santé a indiqué que huit cas potentiels ont été repérés dans l'Hexagone. "Le ministère précise que les personnes identifiées ont été isolées, ainsi que leurs contacts, en attendant les résultats du criblage puis du séquençage devant confirmer ou infirmer qu'il s'agit du variant Omicron", indique le quotidien régional. Olivier Véran a assuré qu'au-delà du criblage, les autorités sanitaires réalisent "entre 6 000 et 12 000 séquençages par semaine" afin de détecter la présence du variant en France.
Le variant Omicron représente un risque très élevé à l'échelle mondiale
Dans une note technique publiée ce lundi 29 novembre, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué que le variant Omicron représentait un risque très élevé à l'échelle mondiale, bien qu'aucun décès associé n'ait encore été enregistré. "Etant donné les mutations qui pourraient conférer un potentiel d'échappement à la réponse immunitaire tout comme possiblement donner un avantage en termes de transmissibilité, la probabilité qu'Omicron se répande au niveau mondial est élevée (...) En fonctions de ces caractéristiques, il pourrait y avoir de futurs pics de Covid-19, qui pourraient avoir des conséquences sévères en fonction de différents facteurs et en particulier où ces pics se produiraient", indique l'institution.
Pas-de-Calais
Dans le Pas-de-Calais, le taux d’incidence s’élève à 250,3 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.
Val-de-Marne
Dans le Val-de-Marne, le taux d’incidence s’élève à 250,6 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.
Haute-Garonne
Dans la Haute-Garonne, le taux d’incidence s’élève à 251,4 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.
Loire-Atlantique
Dans la Loire-Atlantique, le taux d’incidence s’élève à 256,4 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.
Val-d'Oise
Dans le Val-d’Oise, le taux d’incidence s’élève à 258,8 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.
Territoire de Belfort
Dans le Territoire de Belfort, le taux d’incidence s’élève à 259,7 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.
Meurthe-et-Moselle
En Meurthe-et-Moselle, le taux d’incidence s’élève à 260,1 personnes testées positives pour 100 000 habitants, ce qui est supérieur au seuil d’alerte maximale fixé à 250.