Lundi 2 décembre, Michel Barnier a déclenché le 49-3 pour faire passer en force le projet de loi sur le budget de la Sécurité sociale. Une décision suivie du vote des motions de censures déposées par le RN et...
Une randonneuse de 53 ans a fait une chute mortelle de 300 mètres depuis le Pic de Pista, dans les Pyrénées-Atlantiques, le 14 avril dernier. Elle était accompagnée de son mari et d’un ami. Les deux hommes ont tenté de la retrouver, mais après des heures de recherches intenses, ils ont décidé d’appeler les secours, qui sont arrivés 35 minutes plus tard. Au bout d’une dizaine de minutes de recherches en hélicoptère, ils ont découvert le corps inanimé de la femme, dont il ne restait que les ossements. "Au sol, il n'y avait plus que des ossements, des habits et des chaussures" raconte un membre du Peloton de Gendarmerie de Haute Montage (PGHM). Quelques minutes auparavant, les secouristes ont croisés une vingtaine de vautours dans le ciel, ils n’ont fait le rapprochement qu’une fois le corps dépouillé découvert.
Une chute mortelle
"La randonneuse a glissé sur la neige, dévissé sur 300 mètres, sauté trois barres rocheuses d'une vingtaine de mètres chacune avant de s'arrêter au pied de la face nord du pic" explique Didier Pericou, major du Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne (PGHM). Elle est donc morte sur le coup et les vautours "ont mis entre 45 et 50 minutes pour manger le corps. Au vu des nombreuses fractures au fémur, au niveau des côtes, il était sûr qu'elle était décédée dans sa chute."