Que vous soyez un passionné de numismatique ou un collectionneur aguerri, il est essentiel de savoir identifier les pièces de valeur. Voici quelques critères pour reconnaître une pièce de monnaie rare.
Depuis l'arrivée de l'épidémie de coronavirus en France, les "gestes barrières" sont rentrés dans notre vocabulaire courant. Rester chez soi, tousser dans son coude, ne pas toucher son visage, garder une distance d'un mètre avec les autres personnes, se laver les mains et, désormais, le port du masque… Le Covid-19 a eu raison de bien des pratiques, notamment la bise et le serrage de main.
De plus en plus de Français ne prennent par ailleurs plus autant de précautions : on l'a vu lors de la Fête de la Musique, de réunions entre amis dans les parcs, ou encore dans les transports en commun… De façon générale, on constate un relâchement de la population. Peut-on de nouveau faire la bise pour autant ?
"Un risque limité"
Pour France Info, Pascal Crépay, épidémiologiste, explique que la bise est "un risque limité" si elle est faite à un nombre limité de personnes. Il ajoute que rester enfermé dans une pièce aux côtés de quelqu'un est un facteur de risque aussi important que celui de faire la bise, ou de serrer la main à cette même personne. Anne-Claude Crémieux, infectiologue, nuance le propos de son confrère : "Si on relâche la distanciation sociale, on n'est vraiment pas à l'abri de nouveaux cas et d'un rebond de l'épidémie".
Aujourd'hui, la communauté scientifique n'est pas en mesure de déterminer exactement combien de contaminations sont évitées grâce à la distanciation physique. Pour le moment, il est tout de même recommandé de continuer à respecter les gestes barrières pour limiter la possibilité d'une recrudescence des cas.
La bise, une spécialité française
La bise est une coutume typiquement française. Ce contact physique est loin d'être systématique ailleurs dans le monde. Comment se saluer sans se faire la bise ni se serrer la main ?
Lors de l'épidémie d'Ebola en Afrique de l'Ouest, on évitait également de se toucher. Pour pallier cela, on se disait bonjour avec le coude, explique France Inter. Dans l'Asie du Sud-Est, le "namasté" est de rigueur. En Thaïlande, au Népal ou encore en Inde, on joint ses deux mains devant sa poitrine, doigts tendus, et on incline sa tête vers la personne que l'on salue. Une solution garantie sans transmission de virus. Au Maghreb, mais aussi en Malaisie, on place ses paumes contre son cœur au lieu de faire la bise.
Vous aussi, adoptez ces pratiques pour dire bonjour sans abandonner les gestes barrières !