
Après un hiver 2022-2023 rude, l'inquiétude se fait déjà ressentir pour de nombreux Français à l'horizon de cette période. Toutefois, certains indicateurs voient une tendance plus favorable. On vous explique.
L’été n’est pas encore arrivé, et pourtant le niveau critique de nos ressources en eau se confirme et est amené à perdurer voire à empirer dans les prochaines semaines, comme le prévoit le ministère de la Transition écologique. Pour ce qui est du risque de sécheresse, il est jugé comme "très probable" dans 26 départements de l’Hexagone. D’autres territoires, sont quant à eux soumis à un risque "probable" de manque d’eau. C’est pourquoi les différentes préfectures ont pris la décision de mettre en œuvre diverses mesures ayant pour objectif de ralentir ces manques.
Même si ce n’est plus un secret, selon Bureau des recherches géologiques et minières (BRGM), les nappes phréatiques sont un enjeu majeur, puisqu’elle ne représente pas moins de deux tiers de notre consommation d’eau potable. Également touchée par ce phénomène de pénurie, l’agriculture perçoit grâce à la ressource naturelle près d’un tiers de sa consommation. L’organisme rappelle que la conjoncture était encore "peu satisfaisante sur une grande partie du pays", avec un taux de remplissage à près de 68 % pour le mois de mai.
Sur le site du ministère de la Transition écologique, les restrictions d’eau mises en place sont listées dans le détail selon les niveaux d’alerte. Votre département s’expose à différentes mesures selon qu’il est :
Découvrez dans notre diaporama, ces 14 départements dont le taux de remplissage est jugé comme étant "très bas", selon Info-sécheresse.
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