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C'est lui la star de l'Elysée ! Depuis que le couple présidentiel a adopté ce labrador noir l'an passé, les Français n'ont d'yeux que pour lui. 

Nemo, premier chien de France : il croule sous les cadeaux !

Il est arrivé au Palais le 27 août 2017 et depuis, c’est la coqueluche de tout le pays. Adopté à la SPA des Yvelines par Emmanuel et Brigitte Macron, Nemo, leur labrador noir croisé avec un griffon reçoit des cadeaux et même du courrier.

Errigé au rang de mascotte à l’instar des compagnons de présidents qui lui ont précédés, Nemo (qui s’appelait Marin avant son adoption) reçoit une tonne de lettres de la part d’enfants, de la nourriture à ne plus savoir qu’en faire, des séances de toilettages gratuites et même un CD de musique pour chien. "C'est une vraie vedette", raconte un habitué du Château au Parisien. "Il reçoit plus de cadeaux que le président lui-même !"

Le présent préféré de Nemo est certainement son collier rouge qui ne le quitte jamais, et sur lequel on peut lire "Je m’appelle Nemo, je vis à l’Elysée".

Nemo, le chien de l'Elysée : un chien pas comme les autres

Les débuts auraient pu être difficiles pour l’animal abandonné, mais il s’est très vite fait à sa nouvelle vie et son nouvel habitat. "Il aurait pu avoir des troubles du comportement", rapporte l’Elysée. En effet, Nemo est très proche de ses maîtres, et hormis quelques bêtises -on se souvient qu’il avait uriné dans le bureau présidentiel pendant une réunion ministérielle devant les caméras- il semble s’être fait rapidement à sa nouvelle vie, après quelques cours de dressage.

"La relation entre les Macron et Nemo marche dans les deux sens, chacun est très attaché à l’autre", précise le service communication de l’Elysée. "Il est très joueur et file s’amuser dès qu’il voit d’autres animaux", ajoute-t-on au Palais.

En ayant choisi d’adopter dans un refuge, Emmanuel et Brigitte Macron ont brisé une coutume présidentielle. En effet, tous les chiens de ces prédésesseurs, de François Hollande à Jacques Chirac, viennent de chez François Lubrina un vétérinaire québécois "fournisseur officiel de labradors présidentiels", selon le quotidien. L’adoption de ce bâtard est aussi un moyen d’inciter les Français se tourner vers les refuges pour animaux.