![Disparition d'une quadragénaire dans la Drôme, des battues organisées](/files/styles/pano_m/public/images/article/2/2/4/2976422/vignette-focus.jpg?itok=19U9lk1u)
Une femme de 42 ans a disparu dans la Drôme le 6 janvier, dans des circonstances encore obscures. Après appel à témoin et des recherches effectuées par la gendarmerie, une centaines de volontaires ont participé...
La dinde, le saumon fumé, les cadeaux et… Les masques ? Cette année, un invité supplémentaire s’est présenté à la table de votre Réveillon : le coronavirus Covid-19. La pandémie qui touche le monde entier depuis le mois de mars ne laisse pas de répit aux Français pour les fêtes de Noël et ces derniers vont devoir s’adapter. Le reconfinement mis en place à la fin du mois d’octobre a permis de faire baisser grandement les nouvelles contaminations, mais on est encore loin de l’objectif fixé par Emmanuel Macron. Le virus continue de circuler activement dans l’ensemble de l’Hexagone et certains départements sont même plus touchés que d’autres.
Résultat, le gouvernement a décidé de sacrifier le Nouvel An pour pouvoir sauver Noël. Le couvre-feu qui débute ce mardi 14 décembre sera seulement levé le soir du 24 décembre et non plus à la Saint-Sylvestre comme c’était envisagé pendant un temps. Si les Français pourront donc fêter Noël sans souci le 24 et le 25 décembre, le gouvernement leur a quand même demandé de respecter certaines règles, qui ne peuvent néanmoins pas être imposées dans la sphère privée. Jean Castex et Olivier Véran souhaitent que vous ne soyez pas plus de six adultes dans la même pièce pour célébrer Noël et que les gestes barrière soient maintenus, même lorsqu’on est en famille.
Ces deux consignes sont-elles suffisantes pour se protéger et protéger ses proches ? Y a-t-il d’autres réflexes à avoir autour de la table du Réveillon ? Qu’en disent les médecins et les scientifiques ? Planet fait le point sur les différents conseils donnés ces derniers jours par des médecins et des chercheurs.
Quels sont vraiment les bons comportements à adopter pour ne faire prendre aucun risque à sa famille ou à ses amis le jour de Noël ? Voici les conseils du professeur Daniel Camus auprès de La Voix du Nord, d’Arnaud Fontanet et de Catherine Hill auprès du Journal du dimanche.
En plus de ces gestes simples à adopter chez soi, certains professionnels recommandent de se faire tester ou de tester ses proches avant le Réveillon du 24 décembre. Est-ce vraiment une bonne idée ? On fait le point.
Tester ses proches pour éviter qu’ils se contaminent entre eux. Cette solution pourrait séduire de nombreux Français à l’approche du Réveillon et, si elle est louable sur le papier, elle pourrait néanmoins poser quelques problèmes. La première est que les capacités de tests ne sont pas suffisantes en France pour pouvoir faire face à un afflux massif de personnes dans un laps de temps très court.
La deuxième est que le résultat peut être aléatoire, selon le professeur Éric Caumes. Invité sur RMC et BFMTV ce lundi 14 décembre, il a expliqué que "le mieux, c’est de se faire tester le matin même" mais qu’il faut rester méfiant "car on peut être positif le lendemain".
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