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Ils viennent de se marier. Et pour sa troisième union, Franz-Olivier Giesbert a jeté son dévolu sur sa compagne des quinze dernières années. Une femme de réflexion et d'engagement.

Valérie Toranian et Franz-Olivier Giesbert : un couple qui dure

Ils se sont dit oui ce samedi 16 juin. Franz-Olivier Giesbert et Valérie Toranian se sont mariés à Marseille, après quinze ans de relation, en charmante compagnie. Plusieurs personnalités politiques étaient en effet présente à la cérémonie : François Hollande et sa compagne Julie Gayet, mais aussi Christian Estrosi et Laura Tenoudji, qui sont venus avec leur bébé, comme le rapporte Télé-Loisir.

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Valérie Toranian, qui partage depuis longtemps la vie de Franz-Olivier Giesbert, est la troisième femme à lui mettre la bague au doigt… C’est aussi celle qui lui a enseigné les vertus de la fidélité, de l’aveu du journaliste lui-même. "J’ai appris la fidélité tardivement, mais j’en suis devenu un apôtre. Il y a plein d’avantages à être fidèle", a-t-il déclaré à Voici. "Quand j’étais infidèle, j’avais l’impression de ne pas prendre ma vie en main", poursuit-il.

Valérie Toranian, l’alter ego de son époux Franz-Olivier Giesbert ?

Mais la vie de Valérie Toranian ne se résume évidemment pas à son rapport avec son nouvel époux. Elle est également la mère de deux enfants, fruits de sa précédente union avec Jean-Marc Ara Toranian dont elle a gardé le nom, rappelle Télé-Loisir.

D’origine arménienne, elle est la petite fille de rescapés du génocide ayant immigré en France dans les années 1920, souligne France Culture, pour qui elle s’est "construite entre deux cultures". En 1991 elle cofonde Les Nouvelles d’Arménie avec son premier époux. Dans les années 80 elle commence à travailler pour Elle et récupère la rubrique beauté du magazine en 1994. Quatre ans plus tard, elle est en devient la rédactrice-en-chef, puis, en 2002, elle est nommée directrice de la rédaction. Elle quittera la presse féminine en 2014 pour rejoindre la prestigieuse Revue des deux Mondes, au poste de directrice également.

Féministe engagée, on lui doit de nombreux ouvrages, parmi lesquels Une fille bien, que Le Figaro décrit comme "un roman sur la femme d’aujourd’hui". "Ce qui m'intéresse c'est pourquoi et comment notre société pousse les femmes à un perpétuel devoir d'exigence", explique-t-elle. Toutefois, elle nourrit aussi d’autres questionnement. Elle réfléchit aussi à l’histoire, la laïcité, l’islam, le deternisme familial et social, l’urbanisme, l’école… Pour le quotidien, "tout est matière pour elle à réflexion et discussion".