![Jean-Marie Le Pen : la violente altercation de sa fille avec un prêtre](/files/styles/pano_m/public/images/article/0/0/7/2976700/vignette-focus.jpg?itok=bAJ7EC5Y)
En novembre 2024, alors que Jean-Marie Le Pen était hospitalisé à Saint-Cloud, une de ses filles a eu une violente altercation avec un prêtre venu rendre visite au Menhir une dernière fois. Voici les raisons de...
Tant que les meusres d'hygiène sont respectées, la psychose n’a pas lieu d’être. L’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) tient en effet à rassurer :
"Il n'existe actuellement aucune preuve que les aliments constituent une source ou une voie de transmission probable du virus", peut-on lire dans un communiqué publié sur son site.
"L'expérience que nous avons des épidémies précédentes dues à des coronavirus apparentés, SARS-CoV ou MERS-CoV, montre que la transmission via la consommation d'aliments n'a pas eu lieu. Pour l'instant, rien n'indique que ce coronavirus soit différent à cet égard", détaille Marta Hugas, responsable scientifique à l'EFSA.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) semble tenir le même discours."Dans l’état des connaissances à ce jour, la transmission du [coronavirus] par voie digestive directe est écartée", a-t-elle publié ce mardi 11 mars.
"En effet, si l’on observe la présence du virus dans les selles de patients, il est vraisemblable qu’elle s’explique par la circulation du virus dans le sang suite à l’infection respiratoire plutôt que par voie d’entrée digestive". Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) assure d’ailleurs que le virus se transmet de l'homme à l'homme, par l'intermédiaire de gouttelettes respiratoires.
"Toutefois, la possibilité d’infection des voies respiratoires lors de la mastication ne peut être totalement exclue", prévient l’Anses.
Si rien ne prouve que les aliments peuvent être vecteurs de transmission, pour l’heure, "aucune transmission par l’intermédiaire de denrées alimentaires n'a été signalée", déclare de son côté l’EFSA.
Comme le recommande l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Anses, mieux faut toutefois suivre les mesures d’hygiène.
Mains souillées, toux, éternuement… Etant donné qu’une personne infectée peut contaminer un plat en le préparant ou en le manipulant, veillez, comme d'ordinaire, à respecter ces consignes afin de limiter les risques de contamination entre aliments cuits et crus :
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