Ce mercredi 2 octobre, devant les députés de la commission des Lois, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a évoqué les grandes lignes de sa politique dont un volet sur l’immigration.
Un petit mot qui change tout… Au cours d’un discours de clôture des journées parlementaires du parti Les Républicains, Nicolas Sarkozy a commis un lapsus fâcheux.
En effet, alors que l’ex-chef de l’Etat avait dit plutôt vouloir "redonner de la noblesse à la politique" et était en train de louer l’unité retrouvée dans la formation de droite, sa langue a fourché au moment de remercier les membres de son parti qui s’étaient effacés au profit des centristes pour les têtes de listes au régionales.
"Leurs ambitions personnelles devant… euh"
Nous devons l’unité "à ceux qui ont accepté de faire passer leurs ambitions personnelles devant… euh, derrière l’ambition collective", a déclaré le président des Républicains en butant sur un mot lourd de sens dans le contexte des primaires à droite et des élections régionales de décembre.
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Au début du mois de septembre, Nicolas Sarkozy avait déjà commis un lapsus en déclarant lors d’un discours à La Baule que "La France, de toute éternité, a toujours été du côté des opprimés et toujours été du côté des dictateurs, toujours été du côté de celui qui était jeté en prison parce qu’il croyait dans ses idées."
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