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Il suffit de citer quelques-uns des discours d'Emmanuel Macron en campagne pour comprendre que le président nourrit un appétit et un amour certain pour la langue française. Il sait aussi la fleurir...

Face cachée d’Emmanuel Macron : "Ce n’est pas le gendre idéal, loin de là"

De l’usage de "carabistouille" à "ipséité", Emmanuel Macron tient régulièrement à marquer son amour pour la langue française. Quitte à susciter des sourires parmi ceux qui l’écoutent ou les commentateurs. Le président qui a épousé sa professeure de théâtre, également professeure de français, ne manque-t-il jamais de rappeler la figure de sa grand-mère, celle qui lui a transmis le goût de la lecture et donc des mots ?

Pourtant derrière l’Emmanuel Macron qui cherche si souvent les mots pour habiller sa "pensée complexe" se cache un président parfois gourmand de "charrettes"… Dans Le Parisien, des proches racontent comment, en privé, le chef de l'Etat peut se montrer très familier. Trop presque. "Ce n’est pas le gendre idéal, loin de là. C’est un mauvais garçon", confie un élu proche. Emmanuel Macron aurait même "un vocabulaire sexuel, très vert".

Face cachée d’Emmanuel Macron : ces mots qu’il apprécie

Contrairement aux formules polies des adresses aux citoyens, dans l’intimité des dîners ou derrière les tentures de l’Elysée, Emmanuel Macron n’hésiterait pas à user des "plein le cul", "couillon " et tout simplement "merde". Pour ses collaborateurs, le président s'engage aussi sur du "ma poule".

Et puis parfois, ces habitudes transparaissent en public et deviennent des "petites phrases". La dernière en date : ceux qui "déconnent ". Vrai bourde ou exercice de communication pour paraître plus proche "des gens" alors que sa cote de popularité est à la peine ? Emmanuel Macron semble en tout cas vouloir se détacher de son image de "président des riches".