Franc-maçonnerie : lesquels de nos politiques sont des "frères" ?
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Jean-Luc Mélenchon
Dans sa biographie sortie au moment de l’élection présidentielle de 2012, Jean-Luc Mélenchon, alors candidat du Front de Gauche, avait révélé avoir été initié au Grand Orient de France dans les années 1980.
Manuel Valls
L'ancien Premier ministre a bien fait partie de la franc-maçonnerie mais cette appartenance est désormais révolue. Initié dans sa jeunesse, Manuel Valls a finalement démissionné en 2005, révélaitL’Express en 2015.
Xavier Bertrand
En 2008, un an après avoir intégré le gouvernement de François Fillon, Xavier Bertrand confirmait à L’Express être franc-maçon. "Je n’ai pas l’intention de me dérober. On ne peut mentir quand on est un responsable politique et qu’on représente les Français", avait-il alors fait valoir avant d’expliquer : "J’ai effectivement adhéré, en 1995, attiré par le travail sur soi et les idées des autres que permet la franc-maçonnerie. Cela a développé moi le sens de l’écoute, j’en avais besoin, et on en a toujours besoin ! Dès 2004, lors de mon entrée au gouvernement, j’ai souhaité me mettre en retrait".
Gérard Collomb
Le ministre de l'Intérieur n’a jamais caché son appartenance à la franc-maçonnerie. Il l’a révélée en 2001, avant sa première élection à la tête de la ville et depuis, il n’hésite pas à y faire référence. "A Lyon, quand la franc-maçonnerie et l’Eglise marchent ensemble, la ville avance", se plairait-il même à dire, rapporte L’Express.
Bertrand Delanoë
L’ancien maire de Paris "ne dément plus son appartenance au Grand Orient de Paris", écrivait le magazine Capital en 2010. Le socialiste a été initié dans la loge de l’Effort du Grand-Orient de France dans les années 1980 et n’y est resté que quelques années. Aujourd’hui, "il est considéré avec bienveillance comme un maçon ayant remisé son tablier, mais pas ses valeurs", rapporte Metronews qui cite les auteurs du Petit dictionnaire des (vrais et faux) frères.