Véronique Genest : trois secrets à savoir sur la vie de la comédienne©Moritz Thibaud/ABACA abacapress
Depuis l'arrêt de Julie Lescaut en 2014, Véronique Genest poursuit sa carrière au théâtre. Réputée pour sa franchise, l'actrice n'a pas sa langue dans sa poche et n'est pas à l'abri des polémiques dans les médias. Voici les indiscrétions autour de sa vie.
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Véronique Genest marquée par la mort de son père et son frère

Connaissez-vous vraiment Véronique Genest ? Si les fans l’ont connu dans l'uniforme de Julie Lescaut de 1992 à 2014 sur TF1, la célèbre comédienne a été baignée dans le cinéma et la littérature durant son enfance. Une période heureuse pour elle, entourée de ses parents et de son frère aîné en région parisienne.

"J'étais une petite fille heureuse et gaie, très complice de mon frère Olivier, mon aîné d'un an, dans la maison de Meaux où notre père était médecin. Avec Olivier, on écoutait Brassens, on montait à cheval, on avait même créé une radio où l'on interviewait tous les gens de la salle d'attente", a-t-elle confié dans Paris Match en 2009. "Malheureusement, ce bonheur a été de courte durée : mon père est mort d'un cancer quand j'avais 10 ans".

Une terrible épreuve pour la célèbre comédienne, née Véronique Combouilhaud, qui ne voulait pas que sa vie devienne morose après la mort de son père, touché par le cancer. Interrogée en 2016 dans le magazine VSD, elle s’était confiée sur sa jeunesse. "Moi, je me suis toujours arrangée pour que ma vie soit drôle. Donc ça n'a pas été moins drôle, ça a été différent". Et, de poursuivre. "Maman avait déjà quelqu'un à la mort de papa, donc on est partis vivre en Alsace".

En 1993, c’est son frère aîné Olivier qui disparaissait emporté par le sida. Lui rendant hommage dans les pages de son livre Mes Arrêts sur images (paru en 2019), Véronique Genest s’était aussi confiée sur une étrange prémonition dans l’émission On n’est pas couché. "Du jour où cette maladie est arrivée, je savais que ce serait pour lui. Il chopait tout ce qui traînait. Il y avait un champignon, c'était pour lui, il se chopait tout. J'ai tout de suite su que mon frère allait partir, et j'ai tremblé jusqu'au bout", s’est-elle remémorée avec émotion.

Si Véronique Genest a pu compter sur le soutien de sa famille, l’actrice réputé pour son franc-parler et ses clashs dans TPMP n’hésite pas également à faire parler d’elle en couverture des magazines…

Véronique Genest : ses poses dénudées dans la revue Lui

 
 
 
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Avant d’être une comédienne populaire grâce à Julie Lescaut, Véronique Genest était révélée à la télévision dans la mini-série Nana en 1981. Un célèbre personnage qui va propulser sa carrière et la faire connaitre du public. À cette occasion, la flamboyante actrice avait été choisie pour poser en couverture du sulfureux magazine Lui.

Vêtue d’une nuisette rouge sur la une de la revue, puis apparaissant dénudée dans les pages du magazine, ses photos coquines ont beaucoup fait parler à cette époque. Pourtant, des années après, Véronique Genest semble toujours assumer ses clichés osés. Comme en 2016 face à Catherine Ceylac dans Thé ou Café sur France 2. "Quand on est jeune, on se laisse un peu aller", a-t-elle avoué en se justifiant. "Les photos sont absolument magnifiques, je ne suis pas plus dénudée que dans Nana et, franchement, il n’y avait rien de sale".

Véronique Genest : les secrets de sa perte de poids

 
 
 
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Pourtant, au fil du temps, la plantureuse sexagénaire a connu les effets yoyo qui ont marqué sa carrière. Force est de constater qu’avec détermination, celle qui rigolait de sa silhouette dans sa pièce Madame Butterlighta perdu une trentaine de kilos en plusieurs semaines.

Interrogée dans Télé Star en 2018, Véronique Genest livrait les secrets de son évolution physique incroyable. "On m'a conseillé d'aller voir un acupuncteur à Paris. En dix-huit semaines, j'ai perdu 36 kilos", déclarait l’autrice après avoir ironisé sur son poids. "J'ai arrêté ma vie de grosse !" Et, d'ajouter avec sérieux. "Je n'arrivais plus à maigrir. Vous savez, quand on fait des régimes, on perd trois grammes, on en reprend dix et, au final, on perd le moral. C'était devenu insupportable. Je souffrais des jambes, du dos, je transpirais comme un bœuf et puis, surtout, je souffrais de mon image. C'était un enterrement de première classe".