Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
Gel des recrutements, effondrement du travail temporaire, chômage partiel… En 2020, le marché de l’emploi a été fortement chamboulé en raison de la crise sanitaire. A quoi doit-on alors s’attendre dans les mois à venir ? Le cabinet de recrutement PageGroup a étudié la question et édite un rapport spécial à ce sujet : "Impacts de la Covid-19 sur l’emploi".
"Selon une récente étude menée auprès des clients de nos cabinets, seules 50% des entreprises qui prévoyaient de recruter en 2020 maintiennent leurs recrutements, tandis que 25% attendent plus de visibilité sur la conjoncture économique. Avec dans le rétroviseur la possibilité d'une deuxième vague, la reprise reste donc globalement prudente", détaille le cabinet spécialisé.
Les secteurs ont toutefois été inégalement touchés par la crise.
Grande distribution : elle tire son épingle du jeu
Faisant partie des commerces essentiels à la vie de la nation, les magasins de la grande distribution, ouverts durant le confinement, ont pu faire face à la crise. Le rapport du cabinet PageGroup sur l'année 2019 et le premier semestre 2020 le démontre, puisque les salaires sont restés stables.
Qu’en est-il en revanche du recrutement ? Les postes les plus demandés par les entreprises du secteur en 2020 sont : les directeurs de magasins, les employés libre-service ou hôtes et hôtesses de caisse.
Quid de leurs rémunérations ? Les chiffres annoncés dans le diaporama ci-dessus, compilés par les experts du recrutement, correspondent à des rémunérations annuelles moyennes brutes, fixes, pour la région parisienne(hommes et femmes confondus), et en fonction de l’ancienneté.
Pour les emplois en Province, une décote doit ainsi être appliquée :
- de 0 à -15 % dans le sud-est
- de -6 à -16 % dans la moitié ouest
- de -8 à -18 % dans le nord et l’est de la France
Découvrez également le niveau d'attractivité des postes, selon les volume d'offres disponibles (une étoile correspond à une faible demande de la part des entreprises et trois étoiles indiquent une demande élevée).