Karine Le Marchand (L'amour est dans le pré) : son coup de gueule sur l'attitude de certains prétendants

C'est enfin l'heure du bilan de la saison 20 de L'amour est dans le pré. La première partie est diffusée ce 24 novembre 2025 sur M6. Un moment très attendu des téléspectateurs qui restera dans les annales de l'émission cette année. Karine Le Marchand est sans doute pour quelque chose ! On vous explique pourquoi.

Loin de son rôle habituel de confidente bienveillante, Karine Le Marchand a endossé celui de conseillère intransigeante. Notamment lorsqu'elle s'est retrouvée face à Anthony, l'un des candidats de la promotion 2025. L'animatrice n'a pas hésité à mettre les pieds dans le plat, livrant une réprimande en règle.

Ce coup de gueule de Karine Le Marchand lors du bilan n'est pas qu'un simple recadrage télévisé. Il marque un point de rupture, le symbole d'un ras-le-bol généralisé de la production face à des comportements jugés opportunistes. Pour les futurs participants, le message est clair : la sincérité n'est plus seulement souhaitée, elle est désormais exigée ! Explications.

Pourquoi Karine Le Marchand a-t-elle sévèrement recadré Anthony ?

Dans les premières images du bilan dévoilées sur la plateforme M6+ Max, Anthony, éleveur de volailles bio, est arrivé seul pour faire le point sur son aventure, après sa séparation avec sa prétendante Evelyne. Karine Le Marchand est rapidement revenue sur les raisons de cette rupture, reprochant vivement à l’agriculteur d’avoir vendu du rêve à la jeune femme de 39 ans, notamment sur son désir d'enfant. Elle n'y est pas allée par quatre chemins.

"Si je peux me permettre, Anthony. Nous avons tous en tête que, dès le début, la première personne qui a parlé d'enfant, ce n'était pas elle. C'était toi", a-t-elle lancé, visiblement agacée. "Tu lui fais croire des choses, tu lui parles d'enfant, que tu es prêt à t'investir, vite... Car c'est toi qui a parlé de ça en premier. Donc, évidemment qu'elle y croit !", a asséné l'animatrice sur M6 avec compréhension.

Blâmé pour son manque de sincérité, l'agriculteur Anthony a tenté de se défendre en évoquant un blocage personnel : "Je pense que j'ai pas fait le deuil de ma mère, ça me bloque", a-t-il regretté. Un argument qui n'a pas suffi à convaincre l'animatrice, se remémorant son attitude désinvolte lors du speed dating. "Il faut se remettre en cause des fois, en se disant : 'C'est maintenant qu'il faut que je fasse des efforts'. (...) Parce qu'une qui va supporter l'ours que tu es, il n'y en a pas beaucoup."

L'attitude d'Anthony est-elle un cas isolé ?

La réponse est non, et c'est bien là tout le problème. L'incident avec Anthony est la goutte d'eau qui a fait déborder un vase déjà bien rempli. Cette année et dans certaines éditions précédentes, la production avait dû faire face à des comportements qui mettaient à mal l'esprit du programme. A l'image de Livie, la prétendante de Pierrick, qui s'est jouée des sentiments de l'agriculteur pour récupérer son ex-compagnon. 

Comme l'indique Femme actuelle, Karine Le Marchand critique ouvertement l'opportunisme de certains candidats sur M6, qui semblent plus intéressés par la notoriété que par la recherche de l'âme sœur. "Je ne supporte pas quand les agriculteur(trice)s, tout comme les téléspectateurs, se font flouer. Les prétendant(e)s prennent alors la place de quelqu'un d'autre. De manière générale je n'aime pas quand les participants ne sont pas sincères", tacle-t-elle avant de s'adresser aux futurs célibataires qui souhaitent participer au programme (avec de mauvaises intentions). "N'écrivez pas si vous avez des problèmes perso. Soyez prêts ou n'écrivez pas." 

Karine Le Marchand critique le "manque de respect" des participants malhonnêtes

Dans une interview pour Télé Câble Sat en août 2024, Karine Le Marchand dénonçait déjà un "manque de respect" de la part de participants qui exploitent le format. L'animatrice avait même révélé en coulisses qu'un agriculteur avait été "viré" de la saison 19 car "il nous l'a fait à l'envers". La multiplication de ces attitudes crée un climat de tension, creusant un fossé entre une production qui défend l'authenticité et des candidats perçus comme calculateurs.