Nouvelle arnaque à l’aspirateur Dyson : gare à ce message trompeurIstock
L'aspirateur Dyson fait depuis peu l'objet d'une arnaque. Tout ce qu'il faut savoir pour ne pas vous faire flouer.

Ne vous faites pas avoir ! Il n’est pas possible de gagner gratuitement - ou presque - l’un des appareils Dyson. Leurs aspirateurs, si connus soient-ils, ne sont pas proposés en tant que lot dans des jeux auxquels vous n’avez de toute façon pas souvenir d’avoir participé. Ce rappel est important, puisque une arnaque “irritante”, ainsi que la décrit le quotidien Midi Libre sévit sur les réseaux sociaux. Les utilisateurs d’Instagram sont tout particulièrement ciblés.

En pratique, de nombreuses publicités indiquent aux internautes qu’ils ont gagné l’un des produits haut de gamme de la marque et qu’ils n’ont qu’à cliquer pour le récupérer. Celles et ceux qui se laissent tenter sont alors redirigés vers une autre plateforme, laquelle se présente comme indispensable au paiement des frais de port. Peu élevés - entre 1 et 2 euros en moyenne -, ils peuvent apparaître raisonnables au client peu attentif. Pourtant, c’est là que réside le piège.

Nouvelle arnaque à l’aspirateur Dyson : la méthode des escrocs pour vous ruiner

Le mode opératoire est simple. C’est peut-être pour cela qu’il est efficace : pour payer les charges précédemment évoquées, il faut en effet renseigner ses coordonnées bancaires et postales. Autant d’informations utiles aux malandrins qui peuvent alors procéder à des virements réguliers depuis votre banque vers la leur.

Confiants, ils vont même jusqu’à l’écrire en petits caractères au bas de la page. "Cette offre spéciale s'accompagne d'une période d'essai de 6 jours pour un service d'abonnement affilié. Passé ce délai, les d'abonnement [sic] (37 EUR tous les 14 jours) seront automatiquement prélevées sur votre carte de crédit", peut-on y lire. Soyez donc vigilants et ne leur laissez pas les clefs de votre compte.

De son côté la marque est intervenue, assurant à ses clients qu’il ne fallait pas tomber dans le panneau. Le doute n’est donc plus permis !