Les pires marques de l'année
Un florilège de problèmes recensé. Voilà comment 60 millions établi chaque année les Cactus de la conso : nombre de plaintes, résultat d’études, essais et enquêtes de l’année, et méfaits des entreprises à l’encontre de leurs clients, révélés par des lanceurs d’alerte ou les pouvoirs publics.
Qui peut donc bien être son "malheureux" successeur ?
Découvrons ensemble, le palmarès du pire, pour l’année 2018.
L’an dernier, c’est SFR qui remportait le cactus d’or
La société avait suscité un "nombre impressionnant de plaintes en tout genre".
Une légère amélioration est à noter cette année, bien que la vague de colère demeure à l’égard de cet opérateur, qui a perdu 750 000 clients depuis 2015 !
Le cactus de la plus grosse galère administrative : les cartes grises
60 millions stipule que "des milliers d’acheteurs de véhicules ont dû subir de gros bugs informatiques et patienter des semaines pour obtenir les papiers de leur auto. En mai, 600 000 dossiers étaient en souffrance" !
Le cactus de la défaillance : le gros bug de la banque Nickel
Erreurs de prélèvements, difficultés d’accès au compte… En novembre, certains virements depuis un compte Nickel n’arrivaient pas au destinataire.
En cause, une migration informatique délicate à la fin de l’été, selon Nickel.
Le cactus du dérapage de l’année : des banques "impopulaires"
En octobre, 60 Millions et l’Unaf révélaient que le groupe Banque populaire et Caisse d’épargne (BPCE) avait mis en place une procédure informatique s’en prenant directement aux comptes des personnes à découvert.
Le cactus du cocktail des pires pratiques : Wish, un vrai grand bazar
Figurant dans le top 10 des sites marchands les plus fréquentés en France, Wish est un immense bazar, dans tous les sens du terme.
Le cactus du scandale sanitaire : Lactalis, la poudre contaminée
Fin 2017, plusieurs dizaines de bébés ont été contaminés par des salmonelles contenues dans les laits premier âge Picot et Milumel, produits par Lactalis. Une information judiciaire a été ouverte en octobre par le parquet de Paris contre X.
Le cactus de l’esbroufe : Comme j’aime, ou le matraquage publicitaire
Difficile en 2018 d’échapper aux publicités Comme j’aime, une "box minceur" livrée à domicile. 60 Millions l’a donc analysée et vous conseille de l’éviter !