Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
Emus, ils ont longuement pleurés. Depuis la découverte du corps de Victorine Dartois, 18 ans, c’est tout Villefontaine qui saigne. Après plusieurs jours d’autopsie et d’examens de sa dépouille, la jeune lycéenne a finalement pu être inhumée à Bourgoin-Jallieu, le 7 octobre 2020. Mais jusqu’à présent, les gendarmes de la section de recherche (SR) de Grenoble n’ont pas été en mesure d’identifier le ou les responsables du meurtre.
Ce simple constat, indépendamment de l’acharnement avec lequel les forces de l’ordre travaillent, suffit à effrayer certains des habitants de Villefontaine, indique Le Figaro. Notamment celles et ceux qui estiment qu’ils auraient, eux aussi, pu être la victime ce soir-là. "Je viens souvent ici promener mes chiens. Ca aurait pu m’arriver, ou arriver à mes enfants ! Ils sont jeunes, mais je leur ai donné des consignes. On a tous peur", affirme par exemple Camille, conductrice de bus dans le secteur. Elle est loin d’être la seule.
"On ne se sent plus en sécurité"
Anna, 17 ans, dit elle aussi être effrayée. "On ne se sent plus en sécurité quand on sort de chez nous, même quand il fait jour. J’ai hâte qu’on trouve la personne qui a fait ça !", déclare-t-elle aux micros du Figaro, visiblement très effrayée à l’idée d’une récidive.
C’est d’autant moins surprenant, affirme Annick, une sextagénaire qui habite la région, que les drames s’y multiplient. "En Isère, nous avons déjà vécu l’affaire Maëlys il n’y a pas si longtemps…", rappelle-t-elle d’ailleurs. La mère de Maëlys de Araujo avait-elle aussi fait le parallèle, en annonçant tout son soutien à la famille Dartois.