Jeux paralympiques, Premier ministre, mort d’un gendarme… Quoi de neuf ce jeudi 29 août ?
Bienvenue dans cette revue de presse du jeudi 29 août 2024. À la Une aujourd’hui, ce sont bien évidemment les Jeux paralympiques de Paris 2024 qui font l’actualité.
La fête recommence
Les Jeux paralympiques débutent ce mercredi 28 août pour onze jours de compétition riche en émotion. A ce titre, la cérémonie d’ouverture s’est déroulée sur la place de la Concorde et les Champs-Élysées à Paris. Une cérémonie époustouflante orchestrée par le metteur en scène, Thomas Joly.
Un Premier ministre en attente
Emmanuel Macron poursuit ses consultations pour élire son Premier ministre, huit semaines après la tenue d’élections législatives déclenchées par la dissolution de l’Assemblée nationale.
“La France a tué mon mari”
La veuve de l'adjudant Éric Comyn, tué après un refus d'obtempérer à Mougins dans les Alpes-Maritimes, a lancé un cri de désespoir en pointant le laxisme de la justice française. "La France a tué mon mari", martèle Harmonie Comyn lors de la cérémonie d’hommage.
Libération
Ce mercredi soir, Paris a lancé ses premiers Jeux paralympiques, en prolongeant l’esprit de fête des JO, et en sensibilisant à la cause du handicap.
Le Figaro Sport
Les cinq tableaux imaginés par Thomas Jolly, directeur artistique des cérémonies, ont mis à l’honneur le courage, la rigueur et l’ambition des personnes en situation de handicap.
L'Equipe
La cérémonie d’ouverture a débuté avec l'arrivée d'un taxi parisien recouvert de Phryges, la mascotte officielle des Jeux parisiens. À l’intérieur, on retrouve Théo Curin, nageur français présent aux Jeux paralympiques de Rio en 2016.
La Voix du Nord
L’arrivée des délégations est annoncée des Phryges. Pendant une heure et demie, 4 500 athlètes ont défilé jusqu’à la Concorde.
L'Yonne Républicaine
La vasque s’est une nouvelle fois illuminée avant de s'élever dans le ciel de Paris. Alexis Hanquinquant, Nantenin Keïta, Charles-Antoine Kouakou, Élodie Lorandi et Fabien Lamirault ont allumé la vasque olympique.
La Marseillaise
Plus de cinquante jours après la dissolution de l’Assemblée Nationale, Emmanuel Macron n'a toujours pas choisi le Chef du gouvernement. Il continue sa série de consultation, cette fois sans le RN ni LFI, après avoir balayé l’option Lucie Castets.
La Provence
Ce mercredi 28 août, la veuve de l'adjudant Éric Comyn, percuté après un refus d'obtempérer à Mougins dans les Alpes-Maritimes, a exprimé son désespoir face au "laxisme" de la justice française. "Je l'affirme haut et fort, la France a tué mon mari. Par son insuffisance, son laxisme et son excès de tolérance, la France a tué mon mari", martèle Harmonie Comyn. "Comment, pourquoi cet homme multirécidiviste peut-il évoluer en toute liberté ?"
Le fugitif de 39 ans, avait dix condamnations à son casier judiciaire selon le parquet de Grasse, il avait déjà commis un refus d'obtempérer en 2012. Il a été mis en examen pour "meurtre sur personne dépositaire de l'autorité publique".