
Mis en examen ce mardi 12 février pour le meurtre de Louise, Owen L. est incarcéré au sein de la prison de la Santé de Paris. Plusieurs de ses anciennes connaissances dressent un portrait inquiétant du jeune...
Des fêtes de fin d'année menacées. Noël et le jour de l'An 2020 n'auront vraiment pas la même saveur que les années précédentes, en pleine seconde vague du coronavirus Covid-19. Après avoir mis leur vie sociale entre parenthèse au printemps puis de nouveau à l'automne, les Français savent qu'ils vont devoir auss adapter ces moments en famille et entre amis que sont Noël et la Saint-Sylvestre. Le gouvernement a expliqué à plusieurs reprises qu'il souhaitait "ardemment" que les fêtes de Noël puissent être célébrées en famille dans l'Hexagone. Le ministre de la Santé et le Premier ministre ont d'ores et déjà prévenu que les Français devraient continuer d'appliquer les gestes barrière durant cette période, afin de ne faire prendre aucun risque aux personnes les plus fragiles et pour éviter l'arrivée d'une troisième vague dans l'Hexagone.
Invité sur BFMTV et RMC ce mardi 17 novembre Olivier Véran a déclaré : "Mes parents m'ont appelé. Ils se posent la même question que tous les Français. Ils m'ont demandé s'ils avaient une chance de me voir à Noël et comment ils pouvaient s'organiser. Je leur ai fait la même réponse qu je fais aux Français aujourd'hui : évidemment, je souhaite de tout coeur être avec vous à Noël, pouvoir rassembler les frères et soeurs à table, mais je ne peux pas vous promettre qu'on soit rassemblés tous ensemble à n'importe quel endroit du pays".
Le gouvernement et les autorités sanitaires ont une crainte avec les fêtes de fin d'année, qu'elles fassent repartir l'épidémie de plus belle avec, comme l'expliquait un médecin, un "cluster géant intergénérationnel" qui mènerait à une troisième vague et donc un troisième reconfinement. Quels sont réellement les risques à Noël ? Le data scientist Guillaume Rozier a créé un outil disponible sur son site Covid Tracker et qui permet de calculer le risque de contamination que vous prenez lors d'un événement. Quelles sont les risques qu'une personne présente avec vous soit porteuse du Covid-19 lors d'un rassemblement ? Cette question trouve sa réponse grâce au taux d'incidence de chaque département.
Planet a calculé ce risque pour chacun de ses lecteurs grâce à l'outil de Guillaume Rozier. Si Noël avait lieu maintenant, voici le risque qu'il y ait une personne contaminée autour de votre table, en fonction du taux d'incidence rapporté par Santé Publique France et pour dix personnes présentes lors d'un événement. Découvrez-le pour votre département.
Notre tour de France des risques encourus à Noël fait son premier arrêt dans les Hauts-de-France et ses cinq départements. Découvrez les risques de contamination au Covid-19 dans l'Oise, le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme et l'Aisne en fonction du taux d'incidence au 16 novembre 2020 et pour 10 personnes présentes dans la même pièce.
Le risque encouru est amené à évoluer en fonction du taux d'incidence de votre département et du nombre de convives présents. Quel est le pourcentage dans les départements de la région Grand-Est ?
La deuxième région à laquelle nous nous intéressons est le Grand-Est et ses dix départements. Découvrez le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 si Noël avait lieu en ce moment, en fonction du taux d'incidence au 16 novembre 2020 et pour 10 personnes présentes dans la même pièce.
Le risque encouru évoluera bien sûr avec le taux d'incidence au moment des fêtes de fin d'année et en fonction du nombre d'invités. Quel est le pourcentage dans les départements de la région Bourgogne-Franche-Comté ?
Pour cette troisième région, direction la Bourgogne-Franche-Comté et ses huit départements. Découvrez le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 si Noël avait lieu aujourd'hui, calculés sur le taux d'incidence par département au 16 novembre et pour 10 personnes présentes dans la même pièce.
Ce risque calculé est amené à changer en fonction du taux d'incidence de votre département et du nombre d'invités présents le jour de Noël. Quels sont les chiffres dans la région Auvergne-Rhône-Alpes ?
Notre quatrième arrêt nous amène en Auvergne-Rhône-Alpes, région durement touchée par la seconde vague de Covid-19. Ses 12 départements ont présenté des taux d'incidence parmi les plus hauts de l'Hexagone ces dernières semaines. Voici lle risque qu'une personne soit positive au Covid-19 dans chaque département si Noël avait lieu maintenant, selon le taux d'incidence au 16 novembre et pour 10 personnes présentes dans la même pièce.
Le risque évoluera bien sûr en fonction du taux d'incidence et du nombre de personnes qui seront avec vous les 24 et 25 décembre prochain. Que disent les chiffres en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur ?
Comme les autres régions de l'Hexagone, la Provence-Alpes-Côte d'Azur a aussi fait face à une forte seconde vague du coroanvirus Covid-19. Certains de ses six départements ont été plus touchés que les autres, à l'instar des Bouches-du-Rhône. Découvrez le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 si Noël avait lieu maintenant, selon le taux d'incidence au 16 novembre et pour 10 personnes présentes dans la même pièce.
Ce risque ne sera sans doute pas tout à fait le même dans un mois, car le taux d'incidence de votre département aura évolué. Il vous donne néanmoins une idée de ce qu'il pourrait être les 24 et 25 décembre, en fonction du nombre d'invités que vous retrouverez pour les fêtes de fin d'année. La situation est-elle différente dans la région voisine, l'Occitanie ?
L'Occitanie s'en sort mieux que ses voisines face à la seconde vague du coronavirus. Le taux d'incidence y a été plus faible ces dernières semaines. le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 si Noël avait lieu maintenant, en fonction du taux d'incidence par département au 16 novembre et pour dix personnes présentes dans la même pièce.
Comme pour les autres régions, ce risque évoluera légèrement en fonction du taux d'incidence de votre département les 24 et 25 décembre prochains. Il dépend égalemen tdu nombre de personnes présentes autour de votre table, qu'il soit supérieur ou inférieur. Découvrez désormais l'estimation des risques en Nouvelle-Aquitaine.
La Nouvelle-Aquitaine a fait figure de bonne élève dès le début de cette seconde vague du Covid-19. Un de ses douze départements est resté peu touché par le virus alors que ses voisins subissaient de plein fouet la hausse des nouveaux cas, des hospitalisations et des décès. Voici le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 à Noël s'il avait lieu maintenant, selon le taux d'incidence dans chaque département au 16 novembre, pour dix personnes présentes dans la même pièce.
Le risque le plus faible est donc pour l'heure en Charente-Maritime et le plus élevé en Creuse et dans les Pyrénées-Atlantiques. Ce risque évoluera en fonction du taux d'incidence à la fin du mois de décembre et du nombre de convives présents. Quelle est la situation un peu plus au nord du pays, dans les Pays de la Loire ?
Les Pays de la Loire ont été moins touchés que le reste du pays pendant la première et la deuxième vague. Voici le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 à Noël s'il avait lieu maintenant, en fonction du taux d'incidence dans chaque département et pour dix personnes présentes dans la même pièce.
Le Maine-et-Loire et la Mayenne sont à l'heure actuelle les deux départements de la région où les Français prendront "le plus" de risque. La situation va bien sûr évoluer d'ici les fêtes de fin d'année, en fonction du taux d'incidence et du nombre d'invités que vous fréquenterez les 24 et 25 décembre. Alors que la Bretagne est moins touchée par le Covid-19, quel est le risque dans ses différents départements ?
Les départements au risque le plus faible se trouvent en Bretagne. Voici les taux calculés si Noël avait lieu maintenant, en fonction du taux d'incidence au 13 novembre et pour dix personnes qui mangent dans la même pièce.
La Bretagne présentant une circulation plus faible du coronavirus, ce qui explique le risque plus faible rencontré dans chacun de ses départements, selon le taux d'incidence communiqué par Santé Publique France. D'ici Noël, ce taux aura évolué dans un sens comme dans un autre et le risque dépendra en plus du nombre de personnes avec lesquelles vous fêterez les 24 et 25 décembre. Qu'en est-il pour les départements de Normandie ?
Tout comme la Bretagne et la Nouvelle-Aquitaine, la Normandie affiche des taux d'incidence plus faibles que dans d'autres régions. Voici le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 à Noël, s'il avait lieu en ce moment, selon les taux d'incidence rapportés pour chaque département par Santé Publique France au 13 novembre et pour dix personnes rassemblées dans une même pièce.
Ces calculs évolueront dans les prochaines semaines, avec l'évolution de l'épidémie dans la région. Si le taux d'incidence baisse au augmente d'ici les 24 et 25 décembre, les risques en seront modifiés, toujours en fonction des invités présents. Quels sont les chiffres dans la région Centre Val-de-Loire ?
Quels seront les risques encourus à Noël s'il avait lieu maintenant en Centre Val-de-Loire ? Découvrez le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 dans l'Eure-et-Loir, le Loiret, le Cher, le Loir-et-Cher, l'Indre et l'Indre-et-Loire, en fonction du taux d'incidence au 13 novembre 2020 et pour dix personnes présentes dans la même pièce.
Le risque de contamination à Noël évoluera d'ici la fin du mois de décembre, en fonction de la hausse ou de la baisse du taux d'incidence dans chaque département, pour un nombre de personnes donné. Quels sont ces risques en Ile-de-France ?
L'Ile-de-France a été l'une des régions les plus touchées par cette reprise du coronavirus Covid-19. Paris, les Yvelines, les Hauts-de-Seine, le Val-d'Oise, le Val-de-Marne, la Seine-Saint-Denis, l'Essonne... Quel est le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 à Noël dans ces différents départements ? Ces chiffres sont donnés si Noël avait lieu maintenant, en fonction du taux d'incidence relevé par Santé Publique France au 13 novembre et pour dix personnes présentes.
Actuellement, le risque le plus élevé est pris dans le Val-d'Oise et le Val-de-Marne, mais la situation évoluera d'ici la fin du mois, en fonction du taux d'incidence. Le risque dépend également du nombre de personnes présentes avec vous. Quel sera-t-il en Haute-Corse et en Corse du Sud ?
La Corse, comme plusieurs autres régions de l'Hexagone, a été assez épargnée par la seconde vague du coronavirus Covid-19. Voici le risque qu'une personne soit positive au Covid-19 si Noël avait lieu maintenant, en fonction du taux d'incidence rapporté par Santé Publique France au 13 novembre et pour dix personnes présentes au maximum dans la même pièce.
Il y a, à l'heure actuelle, moins risque de contagion en Corse du Sud qu'en Haute-Corse pour dix personnes présentes, si Noël avait lieu maintenant. La situation est amenée à évoluer en fonction du taux d'incidence donné par les autorités sanitaires et du nombre de personnes effectivement présentes les 24 et 25 décembre.