
Le profil d’Owen L., principal suspect dans le meurtre de Louise, 11 ans, se précise. Décrit comme un jeune homme violent et difficile à vivre, il évoluait pourtant dans une famille perçue comme "sans...
© abacapressEmployée dans un établissement scolaire de Toulouse, une mère de famille a reçu un drôle de courrier en f in de semaine dernière. La Dépêche du Midi révèle en effet qu’aux yeux de l’administration fiscale, cette pauvre femme est déclaré « décédée », son mari a donc été prié d’envoyer au Trésor public un RIB afin que lui soit versé les rémunérations de sa défunte épouse. Une erreur qui l’a moyennement amusée. « Quand on reçoit ce genre de lettre, cela ne fait pas plaisir… J’attends toujours des excuses des impôts » explique-t-elle au quotidien.
La veille, c’est le proviseur de l’établissement où elle travaille que les impôts ont appelé pour lui faire part de cette triste nouvelle. « Heureusement, il a beaucoup d’humour et il n’y croyait pas » commente-t-elle. Mais malheureusement pour Elena, qui est bien vivante, « ce n’est pas la première fois que cette administration commet des erreurs » a-t-elle confié à La Dépêche. Pas plus tard que l’an dernier, le fisc lui a réclamé 1 500 euros pour un trop perçu datant d’il y a 10 ans. Le fisc a dans les deux cas reconnu s’être trompé. Sa situation devrait donc être régularisée prochainement. Mais l’incident a du mal à passer. « Quand c’est vous qui faites des erreurs, les impôts ne vous lâchent pas. Mais quand ils se trompent, ils tardent souvent à le reconnaître » ajoute-t-elle agacée.