Tests payants : les combines des anti-vaccins pour ne pas se ruinerIstock
Ce n'est une surprise pour personne : ce vendredi 15 octobre 2021, les tests anti-Covid deviendront payants. Ce qui pourrait coûter très cher aux anti-vaccins… Heureusement pour eux, ils ont trouvé quelques astuces.

Le jour J arrive finalement. Des semaines après l’annonce officielle, les tests anti-Covid-19 vont bel et bien devenir payants ce vendredi 15 octobre 2021, rappelle La Dépêche du Midi sur son site d’informations. De quoi faire grincer des dents les quelques Françaises et Français qui ne se sont toujours pas fait vacciner et qui ne disposent pas de certificat médical susceptible de leur permettre de contourner l’injection. Rien de bien étonnant ! Comme l’a déjà expliqué Planet, l’addition pourrait rapidement se montrer salée : les tests PCR coûteront 44 euros quand les tests antigéniques verront leur prix varier entre 22 et 30 euros selon l’endroit et la date où ils sont réalisés (laboratoire ou pharmacie, avec un surcoût le dimanche).

Un certain nombre d’anti-vaccins ont donc d’ores et déjà envisagé quelques combines pour ne pas avoir à se ruiner. Certaines sont tout à fait légales et ne leur vaudront aucun problème avec les autorités. D’autres, en revanche, pourraient les conduire tout droit au commissariat… sous réserve qu’ils fassent la rencontre de policiers ou de gendarmes, expliquent nos confrères qui ont eu l’occasion d’en croiser quelques-uns.

Les tests deviennent payants : quelles sont les combines des anti-vaccins ?

Les premiers, explique La Dépêche, ont simplement décidé de moins aller au restaurant. Ils envisagent désormais de développer "les repas chez les particuliers" et de boycotter tant que faire se peut les espaces exigeant un pass sanitaire. Quitte à limiter leurs loisirs, donc.

Les seconds, en revanche, envisagent très sérieusement de tricher. Soit en "se faisant passer la capture d’écran du pass d’un ami" pour pouvoir entrer dans les lieux autrement interdits, mais ce genre de tactique risquée n’a pas toujours convaincu les escrocs en herbe. D’autres préfèrent donc parier sur l’aide d’un médecin généraliste "complaisant" qui pourrait prescrire des tests encore remboursés par l’assurance maladie… et donc le contribuable.