Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
Météo France a placé plusieurs départements en alerte orange ce jeudi. En tout, une quinzaine située dans le quart-nord-est l’est pour risque d’inondations en raison des fortes pluies qui s’abattent ces derniers jours sur le territoire : la Meuse, la Marne, l’Aube, la Haute-Marne, l’Yonne, la Seine-et-Marne, le Val-d’Oise, Paris et sa petite couronne, les Yvelines, le Doubs, le Jura et la Saône-et-Loire. Le Puy-de-Dôme, la Loire, la Haute-Loire et le Cantal le sont quant à eux pour neige et verglas où l’on attend des épaisseurs de neige qui "pourront atteindre ou dépasser 30/40 cm en Haute-Loire, Monts du Cantal et Sancy, Forez entre 800 et 1500 m, 10 à 20 cm en Stéphanois, Vivarais entre 500 et 800 m".
A lire aussi -Comment suivre la crue près de chez vous ?
A Paris, la Seine pourrait atteindre un niveau supérieur à celui de 2016 !
Concernant le premier lot de départements en alerte, Vigicrues prévient que l’eau qui est déjà montée à des niveaux exceptionnels mercredi, devrait encore monter : des pluies venues de la Manche sont de nouveau attendues jeudi, qui "vont contrarier la décrue" mais "pas suffisantes" cependant pour générer de nouvelles ondes de crues. A Paris, le niveau de la Seine qui dépassait déjà les 5,10 m mercredi, devrait poursuivre sa montée dans la journée. Le pic du fleuve est même prévu dans la nuit de vendredi à samedi. Il pourrait alors atteindre des niveaux comparables à la crue de juin 2016 (6,10 m). "En aval de la confluence avec la Marne, les hauteurs seront comparables à 2016, prévient de son côté Joël Hoffman, directeur adjoint de Vigicrues interrogé par l’AFP. On surveille la partie Yonne aval, Joigny, Pont-sur-Marne..." En revanche, "l'eau monte sur Melun, Villeneuve-Saint-Georges, mais à des hauteurs inférieures à 2016".
Les habitants des départements concernés sont appelés à la plus grande vigilance et à limiter le plus possible leurs déplacements. Ils peuvent par ailleurs suivre en temps réel l’évolution de la montée des eaux sur le site de Vigicrues, dont les équipes travaillent actuellement 24h/24.