
En parallèle des enquêtes de police, les adeptes de web sleuthing mènent leurs propres recherches pour savoir ce qui est arrivé au petit Émile Soleil. Enlèvement ? Accident ? Voici leurs théories.
C’est un coup de pouce utile, sinon proprement indispensable. La pension de réversion, dont Planet a d’ores et déjà eu l’occasion d’expliciter le fonctionnement à maintes reprises, permet à bien des retraitées de percevoir jusqu’à 54% des droits auxquels un conjoint décédé pouvait prétendre. A condition, bien sûr, de pouvoir justifier d’un certain nombre de conditions — de ressources, notamment. Et de ne pas oublier de la demander ! A l’inverse d’autres prestations sociales, la réversion n’est pas automatique. Malheureusement, il a parfois pu s’avérer complexe de l’exiger… puisque l’époux décédé a potentiellement cotisé auprès de différents régimes. Est-ce encore le cas aujourd’hui ? Récapitulatif.
Pour réclamer sa pension de réversion auprès du régime de base, indique l’Assurance retraite sur son site, il faut se connecter à son espace personnel et cliquer sur la rubrique “Demander une retraite de réversion”. C’est à ce moment-là qu'il est nécessaire formellement remplir le formulaire demande de réversion, puis il revient à l’administration de traiter le dossier.
Dans le détail, il faut déposer l’imprimé unique de demande de réversion directement “auprès du dernier régime d’affiliation du conjoint décédé” et ce même s’il y en a eu plusieurs : c’est l’organisme qui se charge alors de transmettre les informations à tous les autres régimes concernés. Ce document présente un avantage conséquent : il est utilisé pour l’intégralité des demandes précédemment évoquées.
La plupart des régimes de retraite complémentaire plafonnent la réversion à 60% des droits du conjoint décédé.