Les concentrations moyennes de résidus de chloridazone, un pesticide retiré du marché depuis 2020 dépassent la valeur maximale établie au niveau européen dans de nombreux départements, d’après un rapport de...
1/ Il a eu un enfant avec une écologiste
Agé de 47 ans, Jean-Vincent Placé est papa d’une petite Mathilde, née en novembre 2013 de ses amours avec Eva Sas. Les deux écologistes sont restés plusieurs années ensemble, avant de se séparer il y a deux ans. Aujourd’hui, le bruit court que le nouveau secrétaire d’Etat en charge de la Réforme d’Etat et de la Simplification serait en couple avec son ancienne attachée parlementaire Laure Lechatellier. Tous les deux ont été aperçus ensemble dans une tribune de Roland Garros en mai 2014. Mais Jean-Vincent Placé nie en bloc la relation qu’on leur prête. "Il indique aux ‘apprentis-sorciers’ que Laure Lechatellier est actuellement en couple, et enceinte", rapportait L’Express en décembre 2011.
2/ Il a eu une relation avec Cécile Duflot
L’année dernière, Jean-Vincent Placé a publié son autobiographie. Dans cet ouvrage intitulé Pourquoi pas moi, l’écologiste revient, en autres, sur la relation qu’il a autrefois entretenue avec Cécile Duflot en 2006. "Ca a été l’un de ces moments où la vie publique et la vie privée se sont confondues", a-t-il confié lors d’un entretien accordé à Closer. Evoquant une "très belle" relation, l’écologiste a également précisé qu’il n’avait "évidemment aucun problème" aujourd’hui à travailler avec son ex-compagne.
3/ La première fois qu’il a goûté une salade de riz
En août 2014, Jean-Vincent Placé a accepté de revenir sur un épisode marquant de sa vie : son arrivé en France dans sa famille d’accueil. Né en Corée du Sud, il a en effet été adopté à l’âge de sept ans par une famille du Calvados : "Je me souviens qu'en guise de déjeuner, mes parents avaient préparé une salade de riz à la française, c'est-à-dire avec des tomates et du maïs. En Corée, le riz se mange nature. J'avais eu l'outrecuidance de le faire remarquer. Mon père a alors eu ce mot : ‘Ah, ça commence bien !’".
Deux ans plus tard, l’enfant était naturalisé et ne parlait plus que le français. Pendant trente-six ans, il n’est pas retourné dans son pays d’origine. Il lui a en effet fallu attendre un voyage officiel en 2011 pour qu’il accepte de faire le voyage inverse. "Nous nous sommes rendus dans mon orphelinat, situé à Suwon, au sud de Séoul. Je pensais avoir oublié. Et pourtant, tout m'est revenu, comme si c'était la veille. Alors que je ne suis pas très fort pour exprimer mes sentiments, j'ai été très ému", a-t-il raconté à l’hebdomadaire.
4/ Il a 18 000 euros de PV impayés
En 2013, on apprenait que Jean-Vincent Placé avait 133 contraventions impayées, soit un totale de 18 000 euros. Une dette qui remontait à son mandat de vice-président de la région Ile-de-France (2004-2010) et dont la révélation avait provoqué une vive polémique. Deux ans plus tard, et alors que le magazine Society lui consacrait un long article, l’écologiste a évoqué une "grosse connerie" et une "mauvaise habitude". "Ce n’était pas des excès de vitesse. C’était la place de livraison en bas de chez moi", a-t-il également assuré.
5/ Il a maigri pour sa fille
"En étant gros, je n’étais pas crédible", a expliqué Jean-Vincent Placé dans Society. L’écologiste évoquait alors le régime qui lui avait fait perdre 14 kilos. L’actuel ministre aurait ainsi chanté d’alimentation et se serait inscrit dans une salle de sport. Un changement de ses habitudes qu’il a opéré pour lui mais aussi et surtout pour sa fille, Mathilde. "Ma fille a presque deux ans et va bientôt parler. Quelle crédibilité j’aurais eu en lui proposant de manger équilibré et en étant gros moi-même ?", s’est-il interrogé au cours de son entretien accordé au magazine.