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AFPC’est de notoriété publique depuis plusieurs années, il n’empêche que le célèbre présentateur du journal télévisé de TF1 n’apprécie que très très modérément que les médias y fassent allusion : son salaire. De fait, tels que le soulignent quantité de publications à l’instar du Parisien depuis près de trois ans, l’emblématique journaliste bénéficierait d’un salaire mensuel porté à 50 000 euros. Il faut dire qu’il officie sur la chaîne depuis plus de 40 ans (et non accessoirement à son poste, depuis 30 ans maintenant) et qu’il apparaît telle LA figure du 13 heures. Auprès du magazine Télé Star, il répond : "Je ne sais pas d'où ils sortent cette info, car en dehors de moi, les deux seules personnes à savoir combien je gagne sont mon patron et l'inspecteur des impôts".
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Du reste, il concède, par ailleurs, et bien que souffrant d’un cancer de la prostate, ne pas avoir de sitôt l’intention de mettre un terme à sa carrière. Laquelle, jusqu’à sa récente opération, occupait "95 % de son temps", admet-il.
Depuis trente années maintenant, il s’attelle à recentrer le journal qu’il présente sur les régions et à rendre le 13 heures plus populaire. De nombreuses sources s’accordent sur le fait que, malgré son salaire, ce natif de la région picarde demeure les pieds sur terre. Il n’empêche que dès lors qu’il est question d’investir dans l’immobilier, le journaliste mise sur des demeures de choix situées dans des villes tout aussi prestigieuses et feutrées.
Jean-Pierre Pernaut serait, en effet, propriétaire avec sa femme, Nathalie Marquay, d’une sublime maison construite à Louveciennes dans les Yvelines. Une ville qui s’apparente, par certains endroits, à une enclave de propriétaires particulièrement aisés et où les prix de l’immobilier ont clairement tendance à s’envoler.
Autre région, autre demeure… De choix ? Au Lavandou dans le Var. C’est là que Jean-Pierre Pernaut, sa femme et ses enfants (il en a quatre dont deux issus d’une précédente union) possèdent une maison familiale où ils ont à cœur de retourner chaque été. Histoire pour le journaliste d'échapper, un temps, aux tumultes de la télévision et de la vie parisienne.
Depuis qu’il a pris les rênes du JT de TF1, Jean-Pierre Pernaut s’est fixé pour ligne de conduite de personnaliser l’information pour la rendre plus accessible. Une approche couronnée de succès puisqu’il réunit autour de son édition des millions de téléspectateurs (parfois plus de 8 millions) chaque jour. De quoi lui permettre d’évoluer au sein du groupe TF1 et, non accessoirement, de s’adonner à d’autres activités à l’instar du théâtre (il a co-écrit plusieurs pièces avec son épouse) et de la course automobile.
Dès que sa santé le lui permet, il participe, depuis 2004, à de nombreuses compétitions aux côtés de son fils Olivier auquel il a transmis le virus. A commencer par le trophée Andros. Un hobby qui fait figure de véritable passion pour le présentateur du 13 heures qui lui viendrait de son père.
Dans les colonnes de France Dimanche, il expliquait, il y a dix ans maintenant, que ce dernier "faisait des rallyes dans les années 50 sur sa 403". Et de poursuivre : "Mon frère, lui aussi, disputait des rallyes dans les années 70, il était pilote officiel sur une Austin. J'étais son assistant".
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