Après plus de 5 ans de travaux, la cathédrale la plus célèbre du monde va rouvrir ses portes au public. Dès le 8 décembre, elle sera à nouveau accessible aux visiteurs, mais pas dans n'importe quelles...
Arielle Dombasle n'aime pas quand "y'a de la chimie qui est passée par là". En d'autres termes, elle n'aime pas quand son mari est sous l'influence de la drogue. Alors que le magazine Compléments d'enquête, diffusé sur France 2, consacrait ce vendredi un portrait au philosophe Bernard-Henry Levy, Arielle Dombasle a confirmé que ce dernier consommait parfois des susbtances illicites. Si BHL ne s'en est jamais caché, l'actrice, elle, n'aime pas ça.
Il a recours à des "armes"
Dans un entretien accordé à TV Mag, Bernard-Henry Levy avait déjà confié comment la drogue lui permettait parfois de tenr le coup pour écrire durant de longues heures. "A quoi sert un corps, pour un écrivain, sinon à produire le maximum de texte possible ? Et de la meilleure qualité ? Les amphétamines, parfois, m'y ont aidé" avait-il avoué. Un penchant confirmé par son épouse. "Il aime les psychotropes et il aime maîtriser la chimie" a expliqué Arielle Dombasle aux journalistes de France 2. "Il a recours, je vous le dis, à des "armes". Ce qui est important pour lui, c'est son oeuvre et ce sont ses combats et par conséquent, tout est permis pour arriver à ses fins" a-t-elle confié.
"Quand je vois sur son regard fixe"
Une habitude qui ne lui plaît pas du tout, mais qu'Arielle Dombasle a appris à identifier avec le temps. D'un smple coup d'oeil, elle est capable de dire s'il est sous l'influence de ses produits. "Quand je vois sur son regard extraordinairement fixe comme ça... une espèce de chose avec un horizon très lointain et dur, je me dis "Ah là, y'a de la chimie qui est passée par là"..." a expliqué l'actrice. Une manière détournée de parler de drogue donc, à laquelle elle n'arrive toujours pas à se faire. "Il faut comprendre qu'il prend des excitants, et que je n'aime pas ça" a-t-elle ajouté.