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D'ici 2100, la température moyenne dans le nord de la France sera comparable à celle de la région de Montpellier actuellement. La faute au réchauffement climatique.
IllustrationIstockA partir de ce vendredi 30 octobre, les cérémonies religieuses sont interdites, au moins jusqu'au 1ᵉʳ décembre prochain. Des dérogations demeurent toutefois possibles pour les enterrements, sous conditions.
"L’accélération de la circulation du virus frappe, avec la même brutalité, toute l’Europe. Tout le monde avait intégré le risque d’une deuxième vague, mais personne n’avait prévu une flambée si violente et si rapide", a déclaré ce jeudi 29 octobre au soir Jean Castex, lors d’une conférence de presse faisant suite à l’annonce d’un reconfinement généralisé.
Les Français sont ainsi reconfinés dès ce vendredi 30 octobre et au moins jusqu’au 1ᵉʳ décembre prochain. Comme au printemps, des déplacements restent autorisés : se rendre au travail, à l’école ou à un rendez-vous médical, faire ses courses… Il faudra en revanche vous munir d’une attestation dérogatoire pour prouver le bien fondé de votre sortie.
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Alors que les rassemblements sont interdits, qu’en est-il toutefois des enterrements ?
Enterrement : 30 personnes maximum
"Les lieux de culte resteront ouverts. En revanche, les cérémonies religieuses seront interdites", a notifié le Premier ministre.
Et de préciser : L’interdiction ne concernera cependant pas "les enterrements dans la limite de 30 personnes et pour les mariages, dans la limite de six personnes".
La limite était de 20 personnes durant la première mise sous cloche, au printemps dernier. Néanmoins, les crématoriums comme les chambres funéraires sont autorisés à limiter le nombre de personnes. Cela afin de faciliter le travail des pompes funèbres, et d’éviter toute saturation.
"Une tolérance sera appliquée pour les cérémonies prévues ce week-end de la Toussaint, ainsi que pour les déplacements dans les cimetières et les commerces de fleurs", a poursuivi le chef du gouvernement.
