Communication, adaptabilité, vision d’ensemble ... Le thème astral de François Bayrou nous donne les prévisions des astres pour son début de mandat de Premier ministre. Stanislas Delorme, consultant intuitif,...
Ca s'est joué à un fil. Martine Aubry, un temps menacée par les écologistes a fini par conserver son fief. La baronne Lilloise domine son ancien adjoint, Stéphane Baly, de quelques 227 voix, rapporte La Dépêche. C'est peu, mais c'est suffisant pour rester maire de la métropole. Une chance que n'ont pas eu tous les anciens élus…
En effet, rappelle le quotidien régional. ce scrutin a été marqué par deux composantes essentielles : une abstention record, estimée à 60% et que Jean-Luc Mélenchon qualifie de “grève civique note 20 minutes, ainsi qu'une forte percée des candidats estampillés écologistes - avec ou sans le label Europe Ecologie-Les Verts.
Un résultat sobrement félicité par Benoît Hamon, qui s'est accordé une petite plaisanterie sur Twitter, signant un simple “a connu pire dimanche”. D'autres ont davantage célébré le score des élus écologistes, comme Caroline de Haas.
Plusieurs grandes villes prises par les écologistes
Le fait est que de nombreuses métropoles sont tombées dans l'escarcelle des écologistes. A Lyon, par exemple, Gérard Collomb a fini par chuter après des décennies de règne. Même constat à Strasbourg, ou la ville était gérée par Roland Ries, ancien socialiste, depuis 2008. Le PS, qui a du changer de candidat puisque l'ancien maire n'a pas brigué sa propre succession, n'a pas su conserver l'hôtel de ville.
Cette déferlante s'accompagne aussi du renouvellement du personnel politique. Nombreuses et nombreux sont ces nouveaux élus à n'avoir pas gérer de ville ou à rester méconnus des citoyens. Planet fait le point sur quelques unes des nouvelles têtes dans son diaporama.