Ce mercredi 2 octobre, devant les députés de la commission des Lois, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a évoqué les grandes lignes de sa politique dont un volet sur l’immigration.
Catarina Migliorini, cette jeune Brésilienne qui avait mis sa virginité aux enchères deux fois (après avoir rencontré l’acquéreur de son précieux hymen, un Japonais qui avait déboursé 500 000 euros, la demoiselle l’avait en effet trouvé suspect et avait finalement fait marche arrière), c’est Elizabeth Raine, une Américaine, qui a décidé de vendre sa virginité au plus offrant.« Je suis exceptionnellement bien éduquée »A 27 ans, cette étudiante en médecine (elle aussi) est toujours vierge (et oui) et espère récolter au moins 400 000 dollars. Sur son site internet, elle explique que son identité « sera gardée secrète » mais ne lésine pas sur les arguments pour attirer d’éventuels futurs acquéreurs. « Ce qui rend la vente aux enchères de ma virginité vraiment particulière, c'est que je suis exceptionnellement bien éduquée, financièrement indépendante et que je trouve que perdre ma virginité de cette manière est une idée fantastique ! » estime-t-elle. « Une preuve de mon esprit libre et de mon indépendance »Une chose est sûre, Elizabeth Raine n’est pas de ces filles fleur bleue qui rêvent de connaitre leurs premiers frissons dans les bras de celui qu’elles aiment. Elle l’admet d’ailleurs, sa virginité n’est pas « un don sacré qui doit être réservé à l’homme que j’aime ». « Ma virginité est une preuve de mon esprit libre et de mon indépendance » affirme-t-elle. Généreuse, elle précise également qu’une « partie importante » de la somme récoltée sera reversée à un organisme de bienfaisance. Les enchères s’ouvrent le 1er avril prochain. Avis aux intéressés.
La technique a déjà été éprouvée. Après