Argent : combien vous coûte votre paresse ?
Vous ne le savez peut-être pas, mais la flemme peut coûter très cher. De mauvaise habitude en mauvaise habitude, les sommes s’accumulent… Mais est-ce vraiment une fatalité ?

Le saviez-vous ? La paresse peut s’avérer dangereuse. "La paresse est la mère de tous les vices", affirme en effet le proverbe, que se plaît à citer le docteur Saldmann, dont les propos et l’analyse étaient repris par RTL en 2018. Et lui d’affirmer, alors, que la flemme pouvait présenter de véritables dangers pour la santé. Ce dernier s’appuyait sur une étude australienne qui formule le postulat suivant : se reposer plus que de raison entraîne… une diminution de l’espérance de vie, tant en valeur absolue que de celle en bonne santé.

En outre, poursuit-il, "chaque fois que vous êtes paresseux physiquement, vous allez perdre en muscle". C’est un problème, puisque le corps humain perd naturellement "1 à 2% de muscle par an à partir de 30 ans". Et ce n’est pas le seul danger, soutient-il, puisque "ne pas exercer son cerveau" c’est prendre le risque de voir son QI se "[casser] la figure"... A bon entendeur !

Les risques de la paresse : et du côté économique ?

Hélas, le danger ne s’arrête pas là. Comme l’explique Radins.com sur son site, la paresse engendre aussi un surcoût très conséquent pour les ménages. Et pour cause ! Elle provoque de nombreuses mauvaises habitudes qui, cumulées, coûtent beaucoup. 

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Fort heureusement, poursuivent nos confrères qui ont chiffré et budgeté clairement le surcoût moyen de la flemme, ce ne sont pas les dépenses les plus complexes à couper. Bien souvent, cependant, il s’agit de tirer un trait sur un certain confort quelque peu superflu… Plus de détails à ce propos dans notre diaporama, que vous retrouverez en conclusion de cet article.

1 - Les abonnements oubliés

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1 - Les abonnements oubliés

Ne pas gérer ses abonnements, indique Radins.com, coûte très cher. Ce n’est certes pas le point de dépense le plus élevé, mais cela n’en reste pas moins un trou conséquent dans le budget ; d’autant plus que la plupart des contribuables préfèrent ne pas avoir à s’en occuper. Ils sont débités automatiquement et il est plus confortable de ne pas s’en soucier… C’est aussi, bien souvent, un gain de temps conséquent puisqu’il n’y a plus besoin de comparer les offres.

Cependant, c’est un coût de 500 euros par an, expliquent nos confrères.

2 - Les aides non réclamées

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2 - Les aides non réclamées

Les aides sociales non réclamées coûtent très cher aux Françaises et aux Français, collectivement parlant au moins. L'observatoire des non-recours aux droits et aux services chiffrait en effet le manque à gagner à… 13 milliards d’euros par an. Sont essentiellement concernées des prestations comme le revenu de solidarité active (RSA), qu’un "bon tiers" de la population éligible ne demande pas ; quand il ne s’agit pas tout simplement de la moitié, poursuit France Bleu. Les prestations familiales constituent le deuxième poste de non-dépense, avec 5 milliards d’euros non versés, suivies (d’assez loin, tout de même), par l’allocation personnalisée d’autonomie et la complémentaire santé gratuite.

3 - Ne pas cuisiner 

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3 - Ne pas cuisiner 

Ce n’est pas une surprise, poursuit Radins.com, ne pas cuisiner coûte cher. Potentiellement très cher, une fois que toutes les factures s’additionnent ; et ce que l’on opte pour la livraison, pour le restaurant (sur place ou à emporter) ou même pour les plats pré-cuisinés mis en vente en grande surface. Il faut compter environ 1 900 euros de perdus à l’année.

Pour nos confrères, cependant, plusieurs solutions simples existent et l’une d’entre elles se démarque tout particulièrement. Il s’agit du batch cooking, qui consiste à préparer à cuisiner en grande quantité pour préparer les prochains repas en une seule fois.

4 - Ne pas penser à son épargne

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4 - Ne pas penser à son épargne

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