
A 27 mètres de profondeur en dessous de Paris, une réserve ultra-sécurisée de 10 000 m2 contient plus de 2400 tonnes d’or, sous forme de lingots d’or. Où se trouve ce trésor ?
On fait difficilement plus énergivore qu’un chauffe-eau. C’est pourquoi il importe de bien choisir l’appareil qui équipera votre logis ! Il compte en effet pour beaucoup dans la facture mensuelle de l’appartement, rappelle Total sur son site. En pratique, plusieurs modèles existent : le gaz, l’électrique ou le thermodynamique. Eux-mêmes se déclinent parfois en plusieurs modèles. Un chauffe-eau électrique peut être instantané, ce qui signifie qu’il fonctionne sans stockage, ou à accumulation. D’une façon générale, il s’agit d’un dispositif intéressant en cela qu’il présente de nombreux avantages :
En revanche, il faudra aussi apprendre à composer avec ses deux principaux défauts :
Comme le chauffe-eau électrique, le chauffe-eau à gaz propose un modèle instantané ou une variante à accumulation. Il fonctionne au gaz naturel, au propane ou au butane… et présente d’autres avantages que son cousin électrique :
Est-ce à dire que le chauffe-eau à gaz est nécessairement moins cher ? Pas toujours :
Le cours du gaz européen pourrait bien vous décider à choisir l'un de ces deux chauffe-eaux.
La situation en Ukraine semble avori rebattu les cartes du débat chauffe-eau à gaz vs chauffe-eau électrique. En effet, "le cours du gaz européen a atteint 345 euros le mégawattheure (MWh) en début de semaine selon le TTF néerlandais, indice de référence du marché", précise Capital. La cause : 40 % du gaz européen provient de Russie. Ce qui n'empêche pas l'Union européenne de menacer Moscou d'un embargo européen sur le gaz russe.
L'une des conséquences de cette guerre se retrouve donc directement sur vos factures de gaz. Sans le bouclier tarifaire décidé par le gouvernement en octobre 2021, "les ménages abonnés aux TRV d’Engie auraient dû débourser en mars 120 euros par mégawattheure, soit une augmentation de presque 40% (taxe comprise) en comparaison à octobre", rapporte Capital.
A contrario, les prix de l'électricité sont bien moins élevés mais surtout bien moins dépends de l'explosion des tarifs en Europe. En effet, ils sont principalement indexés en fonction du coût de production de l'énergie nucléaire nationale. Aujourd'hui il se chiffre donc à 42 euros le MWh. Soit 303 euros de moins que le tarif du gaz.