D'ici 2100, la température moyenne dans le nord de la France sera comparable à celle de la région de Montpellier actuellement. La faute au réchauffement climatique.
Ils font figure d'outsiders. Alors que le coronavirus circule activement en France, une poignée de départements s'en sort un petit peu mieux que les autres. Il y a encore quelques semaines, Santé Publique France avait séparé l'Hexagone en trois zones de "vulnérabilité", mais elles ne sont désormais plus que deux. 92 départements sont en vulnérabilité élevée et les autres sont toujours au stade "limité".
Coronavirus : des taux d'incidence bien plus bas qu'ailleurs en France
Chaque semaine, l'agence de santé publique met à jours sa carte du taux d'incidence en France, département par département. Pour rappel, cet outil correspond au nombre de tests positifs pour 100 000 habitants. Une nouvelle catégorie a récemment été ajoutée sur la carte de France, celle des 1 000 tests positifs et plus, alors que le département de la Loire s'approche dangereusement de ce seuil avec 981 tests positifs pour 100 000 habitants. Le Nord, la Haute-Savoie, la Savoie, l'Isère, l'Ain, le Rhône, la Haute-Loire et l'Ardèche font aussi partie des départements où le taux d'incidence est le plus élevé.
A contrario, 10 départements, dont 7 en métropole et 2 collectivités d'outre-mer continuent de résister avec un taux d'incidence bien plus bas que dans le reste du pays. Ces départements et territoires échappent déjà au couvre-feu et pourraient être épargnés en cas d'un reconfinement localisé. Si le gouvernement décide de confiner les zones les plus tendues, où le taux d'incidence dépasse par exemple les 500 pour 100 000 habitants, alors ils pourraient échapper aux mesures les plus strictes.
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