La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Faire grève signifie faire pression et arrêter de travailler pour obtenir une réponse satisfaisante à une demande professionnelle. En général, la démarche se fait en groupe. En France, devenir gréviste est un droit pour les salariés, qu’en est-il pour certaines professions ?
Trois conditions pour faire gréve
Pour qu’une cessation de travail soit considérée comme grève, il faut qu’elle soit issue d’un mouvement collectif et motivées pas des revendications qui doivent être exclusivement professionnelles. Elles peuvent porter sur les conditions de travail, la retraite, les salaires, etc. Il faut également, bien entendu, stopper toute activité professionnelle. Si ces trois critères sont respectés, le droit de faire grève peut être exercé.
Pour les salariés du public, un préavis de grève doit être déposé, ce qui n’est pas le cas dans le privé. En général, la hiérarchie doit en être informée 5 jours avant dans le public. En étant salarié, vous êtes protégés par la loi pour faire grève si les trois premières conditions énumérées ci-dessus sont respectées.
Un gréviste ne peut avoir aucune sanction ni licenciement en cas de grève. La retenue sur salaire dans le privé est égal au temps d’absence effectif, tandis que dans le public, 1/30e du salaire est soustrait par jour de grève.
Voyons, ci-dessous, les professions en France qui ne peuvent pas faire grève.