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Carles Puigdemont a été placé en garde à vue, dimanche, ainsi que huit membres de son gouvernement, avant d'être libéré sous conditions par la justice belge dans la soirée. Face à la situation, Ségolène Royal, Ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôles arctique et antarctique, s'est exprimée sur le sujet ce dimanche sur le plateau du Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI.
L'ancienne candidate est fermement opposée à l'enfermement des personnalités politiques "qui ont mené un combat idéologique et ça au cœur de l'Europe". Pour autant, selon elle, l'indépendance la Catalogne ''n'est pas souhaitable''.
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"Ils sont jetés en prison et les prédateurs sexuels dont nous parlions à l'instant, il n'y en a pas encore un qui est en prison"
Ségolène Royal a par ailleurs fait en rapprochement entre l'incarcération de Carles Puigdemont et une autre affaires qui secoue la classe politique comme médiatique : les affaires de harcèlement et de violences sexuelles envers les femmes. "J'ai entendu hier la réflexion d'une dame dans le train et je me disais 'tiens, elle a quand même raison'. Ils sont jetés en prison et les prédateurs sexuels dont nous parlions à l'instant, il n'y en a pas encore un qui est en prison. J'ai trouvé cette réflexion parfaitement fondée", a-t-elle ainsi expliqué.