Publié par Rédaction, le 26/11/2018

2 min de lecture

Partager :

Brigitte Macron est la cible de nouvelles critiques. Cette fois, c'est le prix d'un de ses manteaux qui est jugé "indécent"...

Le prix du manteau de Brigitte Macron fait polémique : "elle a porté un manteau Vuitton à 3 600 euros"

Une fois de plus, Brigitte Macron est la cible de critiques. Ce weekend, c’est Yann Moix qui s’en est pris à la première dame durant l’émission Les Terriens du samedi, diffusé sur C8. En cause : le manteau Louis Vuitton porté par l’épouse d’Emmanuel Macron lors des commémorations du 11 novembre.

Le nouveau chroniqueur de l'émission de Thierry Ardisson, a surtout critiqué le prix de la tenue vestimentaire de Brigitte Macron. "De sinistre mémoire, elle a porté un manteau Vuitton à 3 600 euros. La marque du manteau a supplanté la marque de l’Histoire ce jour-là", a lâché Yann Moix avant d’ajouter : "Mais c’est normal en fait, qu’elle aime Vuitton, parce qu’il y a des liens vraiment très forts entre Vuitton et Emmanuel Macron".

Le prix du manteau de Brigitte Macron fait polémique : "on peut fabriquer 720 gilets jaunes"

Des ressemblances entre le créateur et le président de la République que l’écrivain a alors énuméré. "Louis Vuitton a quitté la province pour aller à Paris à l’âge de 16 ans, comme Emmanuel Macron. Comme Emmanuel Macron, Louis Vuitton adorait emballer les gens, il avait l’art d’emballer les choses aussi et il avait fait reconnaître son savoir-faire au milieu des plus grands hommes politiques", explique-t-il.

Cependant, ces deux hommes "au milieu du pouvoir" ont tout de même une "différence majeure", pour Yann Moix : "Louis Vuitton est souvent imité alors que Macron, lui, est inimitable". Après avoir taclé au passage le chef de l’Etat, le chroniqueur a évoqué de nouveau le manteau litigieux et fait une comparaison tout en s'appuyant sur l’actualité. "J’ai calculé qu’avec 3 600 euros, on peut fabriquer 720 gilets jaunes. C’est à dire que, si vous voulez résumer ma pensée, on n’est plus véritablement dans l’essence, mais dans l’indécence", a-t-il conclu.